Waldemar Kita voit sa marge de manœuvre se réduire à peau de chagrin
Dans le dur financièrement depuis un bon moment, le FC Nantes navigue à vue. Ce qui n'empêche pas son propriétaire et président, Waldemar Kita, de refuser pour l'heure de vendre son club. Une situation qui oblige donc le FCN à vendre ses meilleurs joueurs afin de garder la tête hors de l'eau. On pense notamment au transfert d'Imran Louza à Watford, et aux possibles ventes de Moses Simon, Ludovic Blas et Randan Kolo Muani.
Une situation qui ne pourra toutefois pas durer indéfiniment, et c'est ce qui inquiète Philippe Plantive, leader du Collectif nantais qui a pour ambition de remplacer Waldemar Kita à la tête du FC Nantes.
" On peut penser que les bijoux de famille sont promis à la vente, de même que certains jeunes déjà vendus avant même d’avoir effectué une saison complète dans l’effectif professionnel. C’est un scénario infernal : il faut renflouer les caisses en vendant les cadres, sans pouvoir compenser ces départs.", a t'il déclaré avant de confier craindre un dépôt de bilan.
" Ce qui me fait peur, c’est le scénario d’un dépôt de bilan. Quand vous avez un mono propriétaire qui est obligé de casser sa tirelire pour passer le cut de la DNCG, qui est en disgrâce vis-à-vis de tous les groupes de supporters et qui tient difficilement ses sponsors, c’est un scénario crédible. Ma stratégie dans ce cas de figure ? Continuer de fédérer les énergies du territoire pour pouvoir présenter une alternative très structurée au tribunal de Nantes. On veut pouvoir être actif quel que soit le scénario. "
Une situation qui ne pourra toutefois pas durer indéfiniment, et c'est ce qui inquiète Philippe Plantive, leader du Collectif nantais qui a pour ambition de remplacer Waldemar Kita à la tête du FC Nantes.
" On peut penser que les bijoux de famille sont promis à la vente, de même que certains jeunes déjà vendus avant même d’avoir effectué une saison complète dans l’effectif professionnel. C’est un scénario infernal : il faut renflouer les caisses en vendant les cadres, sans pouvoir compenser ces départs.", a t'il déclaré avant de confier craindre un dépôt de bilan.
" Ce qui me fait peur, c’est le scénario d’un dépôt de bilan. Quand vous avez un mono propriétaire qui est obligé de casser sa tirelire pour passer le cut de la DNCG, qui est en disgrâce vis-à-vis de tous les groupes de supporters et qui tient difficilement ses sponsors, c’est un scénario crédible. Ma stratégie dans ce cas de figure ? Continuer de fédérer les énergies du territoire pour pouvoir présenter une alternative très structurée au tribunal de Nantes. On veut pouvoir être actif quel que soit le scénario. "