La rencontre opposant le FC Nantes au Havre, sera t'elle le dernier match d'Antoine Kombouaré sur le banc nantais ? Dans la logique des choses, on ne voit pas comment il pourrait être conservé en cas de contreperformance, même si le journaliste David Phelippeau a laissé entendre que le Kanak pourrait être maintenu jusqu'à la trêve hivernale.
Toujours est-il que cette rencontre face au HAC a un goût particulier pour Pierre Aristouy. En effet, l'ex entraîneur des Canaris a vécu son dernier match sur le banc du FC Nantes, face au Havre. Et si le club normand faisait tomber un autre entraîneur du FCN ?
L'occasion était donc trop belle pour Ouest France d'interviewer Aristouy. Sans filtre, ce dernier est revenu sur son licenciement qu'il estime être injuste.
"Ce qui me gêne avec ces dirigeants (la famille Kita) c’est que si sur les 19 frappes ce jour-là contre Les Havrais, une était rentrée, je n’aurais pas été écarté à ce moment-là. C’est la résultante d’un manque de stratégie et de visibilité. À la limite, j’aurais presque peut-être plus compris qu’ils me limogent après Metz. (...) Je sens que la direction attendait une victoire contre Le Havre pour me pardonner du revers à Metz. Personne de la direction ne passe aux vestiaires. Je n’ai aucun échange avec elle comme on pouvait en avoir." a t'il confié avant d'évoquer le manque de classe des Kita lors de son licenciement.
"La veille, on met la puce à l’oreille à un dîner de la Fondation du club. En effet, certaines personnes de la sécurité, qui devaient être au courant pour mon avenir, me témoignent de leur amitié et sympathie de façon étonnante (...) Là, je trouve étonnants ces élans de sympathie. Je rentre chez moi vers 0 h 30 et je dis à ma femme qu’il y a un truc bizarre."
Toujours est-il que cette rencontre face au HAC a un goût particulier pour Pierre Aristouy. En effet, l'ex entraîneur des Canaris a vécu son dernier match sur le banc du FC Nantes, face au Havre. Et si le club normand faisait tomber un autre entraîneur du FCN ?
L'occasion était donc trop belle pour Ouest France d'interviewer Aristouy. Sans filtre, ce dernier est revenu sur son licenciement qu'il estime être injuste.
"Ce qui me gêne avec ces dirigeants (la famille Kita) c’est que si sur les 19 frappes ce jour-là contre Les Havrais, une était rentrée, je n’aurais pas été écarté à ce moment-là. C’est la résultante d’un manque de stratégie et de visibilité. À la limite, j’aurais presque peut-être plus compris qu’ils me limogent après Metz. (...) Je sens que la direction attendait une victoire contre Le Havre pour me pardonner du revers à Metz. Personne de la direction ne passe aux vestiaires. Je n’ai aucun échange avec elle comme on pouvait en avoir." a t'il confié avant d'évoquer le manque de classe des Kita lors de son licenciement.
"La veille, on met la puce à l’oreille à un dîner de la Fondation du club. En effet, certaines personnes de la sécurité, qui devaient être au courant pour mon avenir, me témoignent de leur amitié et sympathie de façon étonnante (...) Là, je trouve étonnants ces élans de sympathie. Je rentre chez moi vers 0 h 30 et je dis à ma femme qu’il y a un truc bizarre."