Ce lundi, la ministre des sports, Roxana Maracineanu, a annoncé l'instauration du huis clos jusqu'au 15 avril minimum pour l'ensemble des clubs de Ligue 1 et de Ligue 2. Une décision prise suite à la l'épidémie du coronavirus qui sévit actuellement en France. Un choix que certains présidents de clubs professionnels trouvent absurde.
C'est notamment le cas du président du FC Nantes, Waldemar Kita, qui a proposé de stopper le championnat pour deux ou trois semaines, afin d'impacter au minimum les conséquences financières pour les clubs pro, mais également pour éviter une propagation entres joueurs.
C'est notamment le cas du président du FC Nantes, Waldemar Kita, qui a proposé de stopper le championnat pour deux ou trois semaines, afin d'impacter au minimum les conséquences financières pour les clubs pro, mais également pour éviter une propagation entres joueurs.
Didier Quillot et Nathalie Boy de la Tour refusent de stopper la Ligue 1
Une demande du président du FC Nantes qui a été retoquée par la Ligue de Football Professionnel.
"On n’y a pas pensé un seul instant. Notre responsabilité d’organisateur de la compétition est de conduire la compétition à son terme avec un souci d’équité. C’est pour cela qu’il faut que tous les matchs se jouent à huis clos et, autant que faire se peut, tous en même temps pour que la compétition aille à son terme dans le respect de l’équité" a déclaré le directeur général de la LFP, Didier Quillot.
Des propos en adéquation avec ceux de la présidente de la LFP, Nathalie Boy de la Tour : "Pour notre discipline, compte tenu des calendriers extrêmement chargés qui sont les nôtres, jouer à huis clos est un moindre mal. (…) Nous nous devons d’anticiper tous les scénarios catastrophes. L’un d’eux serait d’avoir plusieurs clubs dont les équipes seraient touchées en grand nombre par le virus, cela nous obligerait à reporter les matches" a t'elle déclaré dans des propos relayés par RMC Sport.
"On n’y a pas pensé un seul instant. Notre responsabilité d’organisateur de la compétition est de conduire la compétition à son terme avec un souci d’équité. C’est pour cela qu’il faut que tous les matchs se jouent à huis clos et, autant que faire se peut, tous en même temps pour que la compétition aille à son terme dans le respect de l’équité" a déclaré le directeur général de la LFP, Didier Quillot.
Des propos en adéquation avec ceux de la présidente de la LFP, Nathalie Boy de la Tour : "Pour notre discipline, compte tenu des calendriers extrêmement chargés qui sont les nôtres, jouer à huis clos est un moindre mal. (…) Nous nous devons d’anticiper tous les scénarios catastrophes. L’un d’eux serait d’avoir plusieurs clubs dont les équipes seraient touchées en grand nombre par le virus, cela nous obligerait à reporter les matches" a t'elle déclaré dans des propos relayés par RMC Sport.