Si on suit la "logique" des Kita, Antoine Kombouaré ne sera pas viré en cas de défaite du FC Nantes sur la pelouse du PSG, ce samedi. En effet, ca serait illogique de confirmer un entraîneur à l'agonie après une défaite face au Havre, et de l'évincer en cas de défaite face au leader incontesté de la Ligue 1.
Même si avec les Kita on n'est pas l'abri d'une surprise, on n'y croit guère. De son côté, le Kanak ne semble pas non plus y croire. Interrogé au sujet de son avenir, ce jeudi en conférence de presse, Kombouaré était plutôt détendu.
" Je sais qu'on n'a pas de bons résultats et que je suis en première ligne. Ça relève de la responsabilité des dirigeants. Moi, tant que je suis ici, je bosse. Comme on n'est pas bien, vous aurez compris que j'ai tout intérêt à me concentrer sur mon travail, et en plus on joue le PSG. Ce qui accapare mon esprit est de savoir comment on peut faire un bon match, même si on sait que c'est compliqué. Tant qu'on ne me dit pas : " c'est fini ", je suis là et heureux, combatif à faire ce que je fais tous les jours. Je ne vous dis pas que j'ai bien dormi (après Le Havre), mais je ne me demande pas si je vais sauter ou pas. Je n'ai jamais reçu autant de messages, pour me demander comment ça va, mais moi je vais bien ! Sportivement, je ne suis pas content mais j'ai un travail et une chance fantastique. On ne m'a jamais fait de cadeaux, il faut aller chercher les choses." a t'il confié.
Des propos de Kombouaré qui laissent à penser qu'il n'a pas eu d'ultimatum de la part de ses dirigeants. Ce qui serait totalement fou au regard de la spirale très négative, mais pas impossible.
Que peut-on en déduire ? Difficile de se mettre dans l'esprit "Kita Circus". Néanmoins, on peut supposer que le board nantais va temporiser jusqu'en janvier avec pour objectif de renforcer l'effectif de Kombouaré, et cela à moindre coût. Quitte à lâcher 2-3 millions d'euros (coût d'un licenciement de Kombouaré et son staff), autant dépenser cet argent dans le mercato.
Un lubie, une révélation, un pari - vous appelez ça comme vous vous voulez - qui serait très risqué, notamment en vue du calendrier compliqué : PSG, Rennes, Brest, Lille, Monaco, Saint-Etienne et Lyon. A croire que les Kita aiment cette pression ...
Même si avec les Kita on n'est pas l'abri d'une surprise, on n'y croit guère. De son côté, le Kanak ne semble pas non plus y croire. Interrogé au sujet de son avenir, ce jeudi en conférence de presse, Kombouaré était plutôt détendu.
" Je sais qu'on n'a pas de bons résultats et que je suis en première ligne. Ça relève de la responsabilité des dirigeants. Moi, tant que je suis ici, je bosse. Comme on n'est pas bien, vous aurez compris que j'ai tout intérêt à me concentrer sur mon travail, et en plus on joue le PSG. Ce qui accapare mon esprit est de savoir comment on peut faire un bon match, même si on sait que c'est compliqué. Tant qu'on ne me dit pas : " c'est fini ", je suis là et heureux, combatif à faire ce que je fais tous les jours. Je ne vous dis pas que j'ai bien dormi (après Le Havre), mais je ne me demande pas si je vais sauter ou pas. Je n'ai jamais reçu autant de messages, pour me demander comment ça va, mais moi je vais bien ! Sportivement, je ne suis pas content mais j'ai un travail et une chance fantastique. On ne m'a jamais fait de cadeaux, il faut aller chercher les choses." a t'il confié.
Des propos de Kombouaré qui laissent à penser qu'il n'a pas eu d'ultimatum de la part de ses dirigeants. Ce qui serait totalement fou au regard de la spirale très négative, mais pas impossible.
Que peut-on en déduire ? Difficile de se mettre dans l'esprit "Kita Circus". Néanmoins, on peut supposer que le board nantais va temporiser jusqu'en janvier avec pour objectif de renforcer l'effectif de Kombouaré, et cela à moindre coût. Quitte à lâcher 2-3 millions d'euros (coût d'un licenciement de Kombouaré et son staff), autant dépenser cet argent dans le mercato.
Un lubie, une révélation, un pari - vous appelez ça comme vous vous voulez - qui serait très risqué, notamment en vue du calendrier compliqué : PSG, Rennes, Brest, Lille, Monaco, Saint-Etienne et Lyon. A croire que les Kita aiment cette pression ...