Le clan Kita refuse de vendre le FC Nantes
Hier (mercredi), le FC Nantes a décidé de se séparer de Raymond Domenech après seulement six semaines de collaboration, et de confier les rênes de la mission sauvetage à Antoine Kombouaré. Un 18e changement d'entraîneur en même pas 14 ans de présidence de Waldemar Kita. Une situation qui ne peut plus durer pour les supporters du FC Nantes, qui réclament un départ du clan Kita.
Présent devant les médias ce jeudi, le directeur général du FCN, Franck Kita, s'est exprimé au sujet des vives critiques dont lui et son père font l'objet, et a annoncé qu'il était hors de question de céder face à la pression des supporters.
"On a toujours été responsable. Donc oui, c’est une situation difficile. Ça fait un certain nombre de mois que ça ne se passe pas très bien. Mais ce n’est pas une raison pour laquelle on souhaite partir. Intéressé par des repreneurs ? Moi, je ne suis à l’écoute de rien du tout. C’est notre club, on l’aime. Tout ce qu’il se passe à l’extérieur, sincèrement, je m’en moque totalement. C’est comme ça partout. Pas plus à Nantes qu’ailleurs. Ça ne m’affole pas. On a totalement l’habitude. Si dans la vie, à chaque fois qu’il y a des petits moments difficiles, vous vous mettez à partir, à lâcher, à pleurer, sincèrement, il faut rester à la maison" a déclaré Kita.
C'est ce que l'on appelle mettre de l'huile sur le feu !
Présent devant les médias ce jeudi, le directeur général du FCN, Franck Kita, s'est exprimé au sujet des vives critiques dont lui et son père font l'objet, et a annoncé qu'il était hors de question de céder face à la pression des supporters.
"On a toujours été responsable. Donc oui, c’est une situation difficile. Ça fait un certain nombre de mois que ça ne se passe pas très bien. Mais ce n’est pas une raison pour laquelle on souhaite partir. Intéressé par des repreneurs ? Moi, je ne suis à l’écoute de rien du tout. C’est notre club, on l’aime. Tout ce qu’il se passe à l’extérieur, sincèrement, je m’en moque totalement. C’est comme ça partout. Pas plus à Nantes qu’ailleurs. Ça ne m’affole pas. On a totalement l’habitude. Si dans la vie, à chaque fois qu’il y a des petits moments difficiles, vous vous mettez à partir, à lâcher, à pleurer, sincèrement, il faut rester à la maison" a déclaré Kita.
C'est ce que l'on appelle mettre de l'huile sur le feu !