Appelé à la rescousse pour sauver un Nantes menacé de relégation, Antoine Kombouaré a pour l'heure réussi ses débuts sur le banc du club canari. Avec une victoire à Angers (1-3) et un match nul contre Marseille (1-1), le club de Waldemar Kita est sortie de la zone rouge mais devra encore batailler ferme jusqu'à la fin de la saison pour ne pas descendre en Ligue 2.
Le nouvel entraîneur nantais n'est sans doute pas étranger à ce petit retour en forme. Interrogé longuement sur Ouest-France, entre autres sur l'image particulière qu'il renvoie, le kanak a tenté de se justifier: "Je n'aime pas le terme. Je suis avant tout un entraîneur. Je ne suis pas dur, mais très exigeant avec les joueurs. Je les aime comme mes enfants. Peut-être que ça va aussi avec mes origines. Chez nous dans le Pacifique, on aime le combat, le duel et on vit en famille. En clan. Aujourd'hui le club es mon clan (...). J'aime quand c'est carré, quand il y a un cadre. Les joueurs doivent savoir où ils mettent les pieds.". Sacré Antoine !
Le nouvel entraîneur nantais n'est sans doute pas étranger à ce petit retour en forme. Interrogé longuement sur Ouest-France, entre autres sur l'image particulière qu'il renvoie, le kanak a tenté de se justifier: "Je n'aime pas le terme. Je suis avant tout un entraîneur. Je ne suis pas dur, mais très exigeant avec les joueurs. Je les aime comme mes enfants. Peut-être que ça va aussi avec mes origines. Chez nous dans le Pacifique, on aime le combat, le duel et on vit en famille. En clan. Aujourd'hui le club es mon clan (...). J'aime quand c'est carré, quand il y a un cadre. Les joueurs doivent savoir où ils mettent les pieds.". Sacré Antoine !
