Xavi doit être un homme apaisé depuis quelques semaines. Alors que le FC Barcelone ne vit pas la meilleure période sportive et économique de son histoire, le club catalan a remporté la Supercoupe d'Espagne et le championnat cette saison.
Des succès qui permettent de lancer la reconstruction du Barça qui doit désormais reconquérir l'Europe et asseoir une nouvelle domination sur l'Espagne.
L'obtention de la Liga a soulagé le peuple catalan et surtout Xavi. Car l'ancien milieu de terrain du Barça a avoué avoir vécu des moments très sombres sur le banc du FC Barcelone lorsque les résultats n'étaient pas au rendez-vous et que les critiques sur lui pleuvaient.
Des succès qui permettent de lancer la reconstruction du Barça qui doit désormais reconquérir l'Europe et asseoir une nouvelle domination sur l'Espagne.
L'obtention de la Liga a soulagé le peuple catalan et surtout Xavi. Car l'ancien milieu de terrain du Barça a avoué avoir vécu des moments très sombres sur le banc du FC Barcelone lorsque les résultats n'étaient pas au rendez-vous et que les critiques sur lui pleuvaient.
Désormais apaisé, Xavi se sentait responsable de certaines périodes compliquées
Dans un long entretien accordé au journal catalan Sport, Xavi a répondu lorsqu'il lui a été demandé si l'on souffrait ou savourait le banc du FC Barcelone. Ou encore ce qui s'est passé pour qu'il sente avoir vécu les "pires jours" de sa vie.
" En tant qu'entraîneur du Barça, on souffre beaucoup plus qu'on savoure car ça ne s'arrête pas. Ce sont 24 heures à penser au Barça : à l'équipe, au message, au discours de motivation, à ce que nous pouvons faire pour améliorer la défense, l'attaque... aux recrues, au fair-play. Et dans la situation actuelle du club c'est encore plus difficile.
Les pires jours de ma vie ? Oui car finalement quand tu ne gagnes pas, tu as la sensation d'être responsable. Et si à cette responsabilité, tu ajoutes les articles sur le fait que le staff ne sert à rien, que l'entraîneur n'est pas prêt, que c'est une erreur d'avoir signé Xavi, que ce n'est pas la même chose d'être joueur qu'entraîneur... Et tu lis tout ça et tu en viens à penser qu'on ne croit pas en toi.
Maintenant que nous sommes dans un moment positif, qu'on a gagné la Supercoupe et la Liga, on en profite. Je suis dans une étape de ouf de soulagement. De calme, de tranquillité, de sentir que nous avons obtenu ce que nous cherchions... J'ai la sensation d'être en paix avec l'équipe, avec moi-même, avec tout le monde (...). Quand les choses ne vont pas bien, j'ai régulièrement la sensation interne de tromper les gens ".
Malgré cette pression ambiante et cette période compliquée, Xavi a aussi réaffirmé plus tard dans l'entretien qu'il souhaitait rester le plus longtemps possible. Preuve que sa force de caractère ne s'est pas diluée de joueur à entraîneur !
" En tant qu'entraîneur du Barça, on souffre beaucoup plus qu'on savoure car ça ne s'arrête pas. Ce sont 24 heures à penser au Barça : à l'équipe, au message, au discours de motivation, à ce que nous pouvons faire pour améliorer la défense, l'attaque... aux recrues, au fair-play. Et dans la situation actuelle du club c'est encore plus difficile.
Les pires jours de ma vie ? Oui car finalement quand tu ne gagnes pas, tu as la sensation d'être responsable. Et si à cette responsabilité, tu ajoutes les articles sur le fait que le staff ne sert à rien, que l'entraîneur n'est pas prêt, que c'est une erreur d'avoir signé Xavi, que ce n'est pas la même chose d'être joueur qu'entraîneur... Et tu lis tout ça et tu en viens à penser qu'on ne croit pas en toi.
Maintenant que nous sommes dans un moment positif, qu'on a gagné la Supercoupe et la Liga, on en profite. Je suis dans une étape de ouf de soulagement. De calme, de tranquillité, de sentir que nous avons obtenu ce que nous cherchions... J'ai la sensation d'être en paix avec l'équipe, avec moi-même, avec tout le monde (...). Quand les choses ne vont pas bien, j'ai régulièrement la sensation interne de tromper les gens ".
Malgré cette pression ambiante et cette période compliquée, Xavi a aussi réaffirmé plus tard dans l'entretien qu'il souhaitait rester le plus longtemps possible. Preuve que sa force de caractère ne s'est pas diluée de joueur à entraîneur !