Neymar qui souhaite quitter le PSG, rêve d'un retour au FC Barcelone. Cependant, le contexte économique fait que le Barça n'est pour l'heure pas en capacité s'assumer financièrement un retour du brésilien. Une option à oublier ? Pas forcément ...
Selon le quotidien espagnol Sport, le président du club Catalan, Joan Laporta, travaillerait sur un montage financier plutôt complexe afin de limiter le cout d'un retour de Neymar.
En effet, le Barça envisagerait de collaborer avec un club saoudien. Plus précisément, une formation saoudienne négocierait directement avec le PSG un transfert de Neymar, qui serait ensuite prêté au FC Barcelone.
L'idée serait que le Barça ne prenne en charge qu'une partie du salaire de la star brésilienne de 31 ans, afin de respecter la réglementation sur la masse salariale imposée par La Liga.
Dans l'autre sens, le club saoudien pourrait s'y retrouver en terme d'image en devenant un partenaire commercial privilégié du FC Barcelone. Bien sûr la mise en application resterait à définir.
Toujours est-il que le président Joan Laporta qui est plein de ressources lorsqu'il s'agit d'activer des leviers économiques, pourrait bien se tourner vers l'Arabie Saoudite ...
Selon le quotidien espagnol Sport, le président du club Catalan, Joan Laporta, travaillerait sur un montage financier plutôt complexe afin de limiter le cout d'un retour de Neymar.
En effet, le Barça envisagerait de collaborer avec un club saoudien. Plus précisément, une formation saoudienne négocierait directement avec le PSG un transfert de Neymar, qui serait ensuite prêté au FC Barcelone.
L'idée serait que le Barça ne prenne en charge qu'une partie du salaire de la star brésilienne de 31 ans, afin de respecter la réglementation sur la masse salariale imposée par La Liga.
Dans l'autre sens, le club saoudien pourrait s'y retrouver en terme d'image en devenant un partenaire commercial privilégié du FC Barcelone. Bien sûr la mise en application resterait à définir.
Toujours est-il que le président Joan Laporta qui est plein de ressources lorsqu'il s'agit d'activer des leviers économiques, pourrait bien se tourner vers l'Arabie Saoudite ...