Lors du quart de finale aller de la Ligue des Champions entre le Paris SG et le FC Barcelone (2-3), la performance de Cubarsi n'est passée inaperçue, contrairement à celle de Kylian Mbappé. Son habileté à casser le pressing adverse et à trouver des solutions dans des situations difficiles a été remarquable.
Face à un marquage agressif et serré du club de la capitale sur les milieux de terrain, Cubarsi a su faire la différence en créant des espaces pour les attaquants de son équipe.
Sa qualité de passe a été essentielle pour contrer le pressing intense de l'équipe adverse. En effet, ses coéquipiers lui ont accordé leur confiance en lui laissant la responsabilité des relances longues, ce qui a permis d'éviter des envois aveugles et inefficaces, comme l'a beaucoup fait ter Stegen durant la rencontre, au grand désarroi de Xavi.
Sans l'apport du jeune international espagnol de 17 ans, l'issue du match aurait pu être bien différente. Sa capacité à briser le pressing adverse a non seulement facilité le jeu de son équipe, mais a également limité les opportunités de Paris de récupérer rapidement le ballon et d'exercer une pression constante.
De plus, la présence de Cubarsi sur le terrain a favorisé les longs ballons vers Lewandowski, qui a su exploiter avec brio les espaces laissés par la défense adverse. Le marquage serré sur les relayeurs de son équipe a créé des opportunités pour des passes en profondeur vers l'attaquant, ce qui a contribué à la réussite offensive de l'équipe.
Dos au but, le buteur polonais s'est amusé face à un Beraldo en grand manque de confiance et d'expérience dans les grands matchs. Évidemment, l'entrée de Pedri aura également tout changé, puisque le maître à jouer catalan a délivré un véritable caviar sur son premier ballon à Raphinha pour le 2-2, avant de permettre au Barça de mettre le pied sur le ballon en gagnant 15% de possession.
Ce match est une véritable masterclass tactique de la part de Xavi qui a même vu Andreas Christensen inscrire le but de la victoire seulement quelques secondes après son entrée en jeu...
Face à un marquage agressif et serré du club de la capitale sur les milieux de terrain, Cubarsi a su faire la différence en créant des espaces pour les attaquants de son équipe.
Sa qualité de passe a été essentielle pour contrer le pressing intense de l'équipe adverse. En effet, ses coéquipiers lui ont accordé leur confiance en lui laissant la responsabilité des relances longues, ce qui a permis d'éviter des envois aveugles et inefficaces, comme l'a beaucoup fait ter Stegen durant la rencontre, au grand désarroi de Xavi.
Sans l'apport du jeune international espagnol de 17 ans, l'issue du match aurait pu être bien différente. Sa capacité à briser le pressing adverse a non seulement facilité le jeu de son équipe, mais a également limité les opportunités de Paris de récupérer rapidement le ballon et d'exercer une pression constante.
De plus, la présence de Cubarsi sur le terrain a favorisé les longs ballons vers Lewandowski, qui a su exploiter avec brio les espaces laissés par la défense adverse. Le marquage serré sur les relayeurs de son équipe a créé des opportunités pour des passes en profondeur vers l'attaquant, ce qui a contribué à la réussite offensive de l'équipe.
Dos au but, le buteur polonais s'est amusé face à un Beraldo en grand manque de confiance et d'expérience dans les grands matchs. Évidemment, l'entrée de Pedri aura également tout changé, puisque le maître à jouer catalan a délivré un véritable caviar sur son premier ballon à Raphinha pour le 2-2, avant de permettre au Barça de mettre le pied sur le ballon en gagnant 15% de possession.
Ce match est une véritable masterclass tactique de la part de Xavi qui a même vu Andreas Christensen inscrire le but de la victoire seulement quelques secondes après son entrée en jeu...