Après la Belgique et l'Allemagne, l'Espagne est la troisième grosse nation du football mondial a être éliminée prématurément de la Coupe du Monde 2022 au Qatar. En effet, les hommes de Luis Enrique se sont inclinés face à une très bonne équipe du Maroc qui a su faire le dos rond face à l'ultra possession de la Roja.
Un match qui s'est joué lors de la séance des tirs au but, et qui a vu le gardien marocain, Yassine Bounou, qui évolue en Espagne et plus particulièrement au FC Séville, écoeurer la bande à Busquets.
Un match qui s'est joué lors de la séance des tirs au but, et qui a vu le gardien marocain, Yassine Bounou, qui évolue en Espagne et plus particulièrement au FC Séville, écoeurer la bande à Busquets.
L'Espagne incapable de s'adapter à son adversaire
Une défaite que le milieu de terrain (repositionné défenseur face au Maroc) espagnol, Rodri, a du mal à accepter. En effet, le joueur de Manchester City a pointé du doigt le schéma tactique ultra défensif du Maroc, qui selon lui n'a fait que subir et attendre la bonne opportunité de contre.
« Sans leur manquer de respect, le Maroc n'a rien proposé du tout. Dans le jeu, ils n'ont rien fait. Ils ont juste attendu les contres. Ils sont restés en bloc derrière et ont essayé de nous contrer. » a t'il déclaré.
Un discours très limité de Rodri, car quand une équipe n'est pas capable de cadrer plus d'une frappe, il ne faut pas s'attendre à des miracles. Hier, le Maroc a clairement mis en lumière les limites de la Roja, à savoir une possession stérile et son capacité à s'adapter à son adversaire.
La raclée infligée au Costa-Rica n'était qu'un mirage face à une équipe qui a laissé des boulevards en défense. Face à une équipe avec un gros bloc équipe, la Roja a tout simplement été inexistante dans les 30 derniers mètres.
La Maroc a su faire déjouer l'Espagne, et c'est ça qu'il faut souligner.
« Sans leur manquer de respect, le Maroc n'a rien proposé du tout. Dans le jeu, ils n'ont rien fait. Ils ont juste attendu les contres. Ils sont restés en bloc derrière et ont essayé de nous contrer. » a t'il déclaré.
Un discours très limité de Rodri, car quand une équipe n'est pas capable de cadrer plus d'une frappe, il ne faut pas s'attendre à des miracles. Hier, le Maroc a clairement mis en lumière les limites de la Roja, à savoir une possession stérile et son capacité à s'adapter à son adversaire.
La raclée infligée au Costa-Rica n'était qu'un mirage face à une équipe qui a laissé des boulevards en défense. Face à une équipe avec un gros bloc équipe, la Roja a tout simplement été inexistante dans les 30 derniers mètres.
La Maroc a su faire déjouer l'Espagne, et c'est ça qu'il faut souligner.