"Pourquoi pas rester ?" : Éric Roy, architecte de l’épopée brestoise en Ligue des champions, cultive le mystère sur son avenir. Alors que son contrat expire en juin, le technicien de 57 ans, porté par une saison historique, balance entre fidélité et ambition. "Je peux renouveler, mais aussi partir", glisse-t-il, sans trancher.
Les dirigeants veulent le garder, mais Eric Roy exige des garanties lors du prochain mercato : un effectif compétitif pour ne pas vivre une saison prochaine galère. "À Brest, on ne gagnera pas la Ligue 1, mais la Coupe de France est jouable", avait-il prévenu en janvier, sous-entendant un besoin de challenge.
Le Real Madrid en LDC, une 9ᵉ place en Ligue 1, des cadres convoités … Brest vit un tournant. " J’ai la volonté pourquoi pas de prolonger. Mais il faut qu’on se mette d’accord. Pour l’instant, on ne s’est pas mis d’accord puisqu’il n’y a pas eu de négociations ", confie Roy, priorisant la fin de saison.
Sera-t-il là en juillet ? Entre flirt avec l’étranger (Angleterre, Espagne) et l’appel du golfe, l’entraîneur garde toutes les cartes en main, et devrait à coup sûr temporiser jusqu'à la fin de saison afin d'éviter de se fermer des portes.
Les dirigeants veulent le garder, mais Eric Roy exige des garanties lors du prochain mercato : un effectif compétitif pour ne pas vivre une saison prochaine galère. "À Brest, on ne gagnera pas la Ligue 1, mais la Coupe de France est jouable", avait-il prévenu en janvier, sous-entendant un besoin de challenge.
Le Real Madrid en LDC, une 9ᵉ place en Ligue 1, des cadres convoités … Brest vit un tournant. " J’ai la volonté pourquoi pas de prolonger. Mais il faut qu’on se mette d’accord. Pour l’instant, on ne s’est pas mis d’accord puisqu’il n’y a pas eu de négociations ", confie Roy, priorisant la fin de saison.
Sera-t-il là en juillet ? Entre flirt avec l’étranger (Angleterre, Espagne) et l’appel du golfe, l’entraîneur garde toutes les cartes en main, et devrait à coup sûr temporiser jusqu'à la fin de saison afin d'éviter de se fermer des portes.