Sans aucun doute le tube de la saison en Ligue 1, le Stade Brestois est d'ores et déjà assuré de disputer une coupe européenne la saison prochaine. Reste désormais à savoir laquelle. Troisième de Ligue 1 à deux journées de la fin, Brest compte seulement 2 points d'avance sur le LOSC, et 6 sur l'OGC Nice qui a un match en retard à jouer face au PSG.
Toujours est-il que cette saison brestoise est d'ores et déjà réussie, et a permis à plusieurs joueurs de Eric Roy de se révéler au grand public. On pense notamment à Badley Locko, Lilian Brassier, Hugo Magnetti ou encore Pierre Lees-Melou, pour ne citer qu'eux.
Des joueurs qui sont ou qui devraient être sollicités lors du mercato d'été. Pas la peine de préciser que le prochain marché des transferts sera probablement le plus compliqué à gérer pour Grégory Lorenzi. Un joueur pourrait notamment remettre le couvert après un mois de janvier "tendu".
Alors qu'il état proche de rejoindre le Stade Rennais pour compenser le départ de Nemanja Matic, Pierre Lees-Melou avait été retenu par ses dirigeants. Une période de flottement qui avait vu naitre des tensions, comme il l'a expliqué dans un entretien accordé à L'Equipe.
" Ç’a été une période un peu compliquée. Je n’ai pas bien compris certains comportements, du président Denis Le Saint et du directeur sportif Grégory Lorenzi. On en a discuté, on n’était pas forcément d’accord. Il y a encore des zones d’ombre. Quand un président veut vous bloquer, vous n’avez pas le choix. Les choses ont été faites maladroitement. (...) Le président s’est exprimé le jour du match (victoire contre Montpellier le 14 janvier), deux jours avant le rendez-vous qui était prévu, en disant que j’étais intransférable. À quoi sert un rendez-vous si la décision est déjà prise ? Dans les discussions, il y a eu des maladresses. " a confié Lees-Melou avant d'évoquer son avenir.
"Quand on arrive à 31 ans, on ne réfléchit pas comme à 25. J’ai une vie de famille, je ne suis pas très loin de la retraite. Je suis quelqu’un de réfléchi, je pense aussi à l’avenir. Le financier est un élément, même si je n’en fais pas une obsession. Personne ne peut cracher sur trois ou quatre fois son salaire (…) Il faut aussi que j’aie des propositions, ce qui n’est pas encore le cas. S’il y en a, on les étudiera, et moi seul prendrai ma décision. "
Pierre Lees-Melou a donc été clair : si une belle offre sur le plan sportif et financière venait à atterrir sur le bureau des dirigeants brestois, il devrait réclamer son départ.
Toujours est-il que cette saison brestoise est d'ores et déjà réussie, et a permis à plusieurs joueurs de Eric Roy de se révéler au grand public. On pense notamment à Badley Locko, Lilian Brassier, Hugo Magnetti ou encore Pierre Lees-Melou, pour ne citer qu'eux.
Des joueurs qui sont ou qui devraient être sollicités lors du mercato d'été. Pas la peine de préciser que le prochain marché des transferts sera probablement le plus compliqué à gérer pour Grégory Lorenzi. Un joueur pourrait notamment remettre le couvert après un mois de janvier "tendu".
Alors qu'il état proche de rejoindre le Stade Rennais pour compenser le départ de Nemanja Matic, Pierre Lees-Melou avait été retenu par ses dirigeants. Une période de flottement qui avait vu naitre des tensions, comme il l'a expliqué dans un entretien accordé à L'Equipe.
" Ç’a été une période un peu compliquée. Je n’ai pas bien compris certains comportements, du président Denis Le Saint et du directeur sportif Grégory Lorenzi. On en a discuté, on n’était pas forcément d’accord. Il y a encore des zones d’ombre. Quand un président veut vous bloquer, vous n’avez pas le choix. Les choses ont été faites maladroitement. (...) Le président s’est exprimé le jour du match (victoire contre Montpellier le 14 janvier), deux jours avant le rendez-vous qui était prévu, en disant que j’étais intransférable. À quoi sert un rendez-vous si la décision est déjà prise ? Dans les discussions, il y a eu des maladresses. " a confié Lees-Melou avant d'évoquer son avenir.
"Quand on arrive à 31 ans, on ne réfléchit pas comme à 25. J’ai une vie de famille, je ne suis pas très loin de la retraite. Je suis quelqu’un de réfléchi, je pense aussi à l’avenir. Le financier est un élément, même si je n’en fais pas une obsession. Personne ne peut cracher sur trois ou quatre fois son salaire (…) Il faut aussi que j’aie des propositions, ce qui n’est pas encore le cas. S’il y en a, on les étudiera, et moi seul prendrai ma décision. "
Pierre Lees-Melou a donc été clair : si une belle offre sur le plan sportif et financière venait à atterrir sur le bureau des dirigeants brestois, il devrait réclamer son départ.