Bien sûr qu'il est encore trop tôt de parler de crise pour Arsenal. Bien sûr qu'il est encore trop tôt pour dire que la saison d'Arsenal a basculé ce week-end. Bien sûr qu'il est trop tôt de penser qu'Arsenal ne sera pas champion d'Angleterre.
Mais étant donné que les Gunners ont pris l'habitude de se planter dans le sprint final lorsqu'ils ont été amenés à jouer le titre, le fait qu'ils alignent pour la première fois de la saison deux matchs sans victoire en championnat doit obligatoirement interpeller le vrai supporter d'Arsenal. D'autant que si cette équipe a beaucoup grandi, reste qu'elle n'est pas habituée à de tels enjeux.
Avant de voir Manchester City, adversaire pas en immense forme mais tellement chevronné pour cela, jouer Aston Villa, Arsenal a six points d'avance sur les Citizens. Mais il reste encore 17 matchs à jouer dont deux duels entre les deux.
Après avoir lâché des points à Everton et contre Brentford, Manchester City arrivera mercredi à l'Emirates Stadium. Une victoire relancerait à coup sûr une équipe d'Arsenal qui a besoin que son peuple soit avec lui à ce moment précis de la saison.
Ce n'est sans doute pas pour rien que Mikel Arteta avait rappelé que "le chemin ne sera pas rose, mais délicat, difficile, et il faudra réagir à la déception", que "c'est facile d'être à côté de quelqu'un qui gagne et qui joue bien, que c'est le moment d'être à côté d'eux parce qu'ils le méritent".
Mais étant donné que les Gunners ont pris l'habitude de se planter dans le sprint final lorsqu'ils ont été amenés à jouer le titre, le fait qu'ils alignent pour la première fois de la saison deux matchs sans victoire en championnat doit obligatoirement interpeller le vrai supporter d'Arsenal. D'autant que si cette équipe a beaucoup grandi, reste qu'elle n'est pas habituée à de tels enjeux.
Avant de voir Manchester City, adversaire pas en immense forme mais tellement chevronné pour cela, jouer Aston Villa, Arsenal a six points d'avance sur les Citizens. Mais il reste encore 17 matchs à jouer dont deux duels entre les deux.
Après avoir lâché des points à Everton et contre Brentford, Manchester City arrivera mercredi à l'Emirates Stadium. Une victoire relancerait à coup sûr une équipe d'Arsenal qui a besoin que son peuple soit avec lui à ce moment précis de la saison.
Ce n'est sans doute pas pour rien que Mikel Arteta avait rappelé que "le chemin ne sera pas rose, mais délicat, difficile, et il faudra réagir à la déception", que "c'est facile d'être à côté de quelqu'un qui gagne et qui joue bien, que c'est le moment d'être à côté d'eux parce qu'ils le méritent".
Arsenal vient de lâcher 5 points en deux matchs, gare à une nouvelle désillusion dans la course au titre !
Avec les errances de Chelsea et Liverpool, un United pas vraiment prêt à lutter pour le titre cette saison, Arsenal a une chance en or pour mettre fin à 18 ans de disette et effacer certaines grosses désillusions du passé.
Comme en 2008 lorsqu'il avait solidement caracolé en tête jusqu'en février (tiens, tiens...) avant de sombrer. Comme en 2016 quand il n'avait pas su profiter des faiblesses de tous les cadors pour finir dauphin derrière...Leicester City ! Comme en 2011, ce qui a amené un Fabregas à quitter le club pour cette incapacité à lutter.
Beaucoup sont même allés renforcer un rival (Van Persie...). Et parce que les échecs de titre sont conséquents depuis 2004, inutile de tout énumérer. Voisins et amis supporters d'Arsenal, on est bien d'accord ?
Comme en 2008 lorsqu'il avait solidement caracolé en tête jusqu'en février (tiens, tiens...) avant de sombrer. Comme en 2016 quand il n'avait pas su profiter des faiblesses de tous les cadors pour finir dauphin derrière...Leicester City ! Comme en 2011, ce qui a amené un Fabregas à quitter le club pour cette incapacité à lutter.
Beaucoup sont même allés renforcer un rival (Van Persie...). Et parce que les échecs de titre sont conséquents depuis 2004, inutile de tout énumérer. Voisins et amis supporters d'Arsenal, on est bien d'accord ?