Rien ne se passe comme prévu à Dijon. Alors que l'objectif de la saison était de se mêler à la lutte pour une accession en Ligue 1, le club bourguignon va finalement devoir batailler pour sauver sa tête en Ligue 2. 18e du championnat et donc relégable, le DFCO coaché par Omar Daf qui avait été délogé de Sochaux l'été dernier, est dans une situation très inquiétante.
Avec 5 points de retard sur le premier non relégable, le club dijonnais va devoir terminer en trombe la saison pour pouvoir se maintenir. Une relégation qui serait dramatique pour Dijon, même si le club est l'un des mieux structurés de Ligue 2. Mais une descente compliquerait sérieusement la tâche du président et propriétaire du DFCO, Olivier Delcourt, dans l'optique d'une vente du club. Car oui, c'est bien dans les tuyaux.
Avec 5 points de retard sur le premier non relégable, le club dijonnais va devoir terminer en trombe la saison pour pouvoir se maintenir. Une relégation qui serait dramatique pour Dijon, même si le club est l'un des mieux structurés de Ligue 2. Mais une descente compliquerait sérieusement la tâche du président et propriétaire du DFCO, Olivier Delcourt, dans l'optique d'une vente du club. Car oui, c'est bien dans les tuyaux.
Olivier Delcourt disposé à passer la main
Dans un entretien accordé au média Le Bien Public, Olivier Delcourt a en effet confirmé la rumeur d'un possible désengagement.
" Je mène une réflexion depuis un certain temps pour assurer son avenir et insuffler une nouvelle dynamique. Pour, éventuellement, l’arrivée de nouveaux investisseurs. Ou un rachat. Des choses sont initiées. Des investisseurs sont intéressés, ce qui était déjà le cas avant l’écoute. Je regarde, j’entends. Mais, pour l’instant, rien n’est décidé. Je n‘ai jamais eu d’offres à 20 millions d‘euros de la part des propriétaires saoudiens de Newcastle. Déjà, je ne demanderais jamais un tel montant. Le DFCO est structuré, avec un centre d‘entraînement au top, un centre de formation qui commence à avoir des résultats. En France, très peu de clubs sont structurés comme Dijon. Le plus important n’est pas ma personne, c’est le club. S’il devait y avoir un repreneur, je veux passer la main. ", a t'il indiqué.
" Je mène une réflexion depuis un certain temps pour assurer son avenir et insuffler une nouvelle dynamique. Pour, éventuellement, l’arrivée de nouveaux investisseurs. Ou un rachat. Des choses sont initiées. Des investisseurs sont intéressés, ce qui était déjà le cas avant l’écoute. Je regarde, j’entends. Mais, pour l’instant, rien n’est décidé. Je n‘ai jamais eu d’offres à 20 millions d‘euros de la part des propriétaires saoudiens de Newcastle. Déjà, je ne demanderais jamais un tel montant. Le DFCO est structuré, avec un centre d‘entraînement au top, un centre de formation qui commence à avoir des résultats. En France, très peu de clubs sont structurés comme Dijon. Le plus important n’est pas ma personne, c’est le club. S’il devait y avoir un repreneur, je veux passer la main. ", a t'il indiqué.
Omar Daf, un avenir en pointillés à Dijon
Egalement interrogé au sujet de l'avenir de Omar Daf qui est loin de répondre aux attentes fixées en début de saison, le dirigeant dijonnais a laissé entendre qu'une éviction de l'entraîneur du DFCO lui avait traversé l'esprit.
" J’ai songé à pleins de choses. Je m’en suis exprimé auprès du coach et de son adjoint (Stéphane Mangione) aussi. On a décidé de changer pas mal de choses au niveau des entraînements, de la vie au quotidien, de changer les habitudes, de fédérer toutes les énergies pour dégager du positif et arrêter de se morfondre. Des CV, on en reçoit toute l’année. Dès qu’il y a des mauvais résultats, c’est automatique, on reçoit des demandes. Mais si ce n’était que l‘entraîneur, ça se saurait. Et ce n’est pas le cas.".
" J’ai songé à pleins de choses. Je m’en suis exprimé auprès du coach et de son adjoint (Stéphane Mangione) aussi. On a décidé de changer pas mal de choses au niveau des entraînements, de la vie au quotidien, de changer les habitudes, de fédérer toutes les énergies pour dégager du positif et arrêter de se morfondre. Des CV, on en reçoit toute l’année. Dès qu’il y a des mauvais résultats, c’est automatique, on reçoit des demandes. Mais si ce n’était que l‘entraîneur, ça se saurait. Et ce n’est pas le cas.".