Au terme d'un match hors du commun marqué par de nombreux rebondissements et une séance de tirs au but (3-3, 4-2 TAB), l'Argentine de Lionel Messi a été sacrée championne du monde pour au plus grand désespoir des joueurs de l'Équipe de France. Néanmoins, la star du PSG aurait dû voir son deuxième but être refusé par l'arbitre de la rencontre, Szymon Marciniak.
Des remplaçants argentins sur le terrain au moment du but
Après avoir été menés de deux buts, les Bleus sont parvenus à revenir de nulle part et ont arraché les prolongations grâce à un doublé de Kylian Mbappé. Cependant, à la 108ème minute, l'Albiceleste est repassée devant au score grâce à un but de Lionel Messi, qui n'aurait pas dû être accordé selon le règlement.
En effet, si l'on applique strictement le règlement, lorsque l'attaquant de 35 ans reprend de volée le ballon remis par Hugo Lloris, des remplaçants argentins étaient déjà présents sur le terrain, prêts à célébrer, avant même que le ballon ne franchisse la ligne. Ce qui n'est pas autorisé par le règlement.
La loi 3, alinéa 9 des lois du football stipule : "Si, après qu'un but est marqué, l'arbitre se rend compte avant la reprise du jeu qu'une personne supplémentaire était sur le terrain au moment où le but a été marqué : l'arbitre doit refuser le but si la personne supplémentaire était : un joueur, un remplaçant, un joueur remplacé, un joueur exclu ou un officiel de l'équipe qui a marqué le but ; le jeu doit reprendre par un coup franc direct à l'endroit où se trouvait la personne supplémentaire." L'Équipe de France aurait donc dû bénéficier d'un coup franc direct.
En effet, si l'on applique strictement le règlement, lorsque l'attaquant de 35 ans reprend de volée le ballon remis par Hugo Lloris, des remplaçants argentins étaient déjà présents sur le terrain, prêts à célébrer, avant même que le ballon ne franchisse la ligne. Ce qui n'est pas autorisé par le règlement.
La loi 3, alinéa 9 des lois du football stipule : "Si, après qu'un but est marqué, l'arbitre se rend compte avant la reprise du jeu qu'une personne supplémentaire était sur le terrain au moment où le but a été marqué : l'arbitre doit refuser le but si la personne supplémentaire était : un joueur, un remplaçant, un joueur remplacé, un joueur exclu ou un officiel de l'équipe qui a marqué le but ; le jeu doit reprendre par un coup franc direct à l'endroit où se trouvait la personne supplémentaire." L'Équipe de France aurait donc dû bénéficier d'un coup franc direct.
