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Chelsea : Werner, Lukaku, Morata etc, l'incroyable constat sur les attaquants qui flopent à Chelsea !


Lundi 1 Août 2022 10:00 - écrit par




Timo Werner va-t-il quitter Chelsea cet été pour rejoindre Leipzig ? Si Thomas Tuchel a affirmé cette semaine ne pas vouloir se séparer de l'allemand, l'intéressé souhaiterait retrouver son ancien club où il était l'un des meilleurs attaquants européens.

Bild a expliqué qu'un prêt pourrait suffire et le joueur veut baisser son salaire. Si le come-back de Werner au RB Leipzig a lieu, il ne renforcerait pas seulement le nombre d'attaquants qui ont échoué à Chelsea.

Il confirmerait aussi un drôle de constat : bon nombre d'entre eux ont dû retourner dans le club où ils ont explosé.

Werner veut retrouver Leipzig comme Lukaku avec l'Inter Milan

Timo Werner semble prendre le même chemin que Romelu Lukaku. Totalement relancé à l'Inter Milan, puis de retour à Chelsea, le belge a donc choisi de revenir en Italie où il était adulé.

Parmi les meilleurs numéros 9 de son époque au Milan AC, Andriy Shevchenko a débarqué à Chelsea en 2006. Véritable flop, il est retourné sans succès à San Siro.

Deuxième meilleur buteur étranger en Bundesliga, Claudio Pizarro a signé à Chelsea en 2007. Véritable flop, il a dû revenir (avec succès) au Werder Brême et au Bayern Munich, clubs où il était roi.

 

Morata, Shevchenko, Pizarro : autant de flops qui sont revenus au bercail

Enfant chéri de l'Atletico Madrid, Fernando Torres a signé à Chelsea après avoir quitté Liverpool en 2011. Des trophées, des hauts et des bas à Stamford Bridge pour l'espagnol. Parti se planter ensuite au Milan AC, il est revenu à l'Atleti.

S'il n'a pas raté son passage à Chelsea, Diego Costa est tout de même repassé à l'Atletico Madrid, club où il s'est révélé, après avoir été poussé dehors par Antonio Conte.

Recruté cher alors par l'italien et envoyé se relancer à l'Atletico Madrid, Alvaro Morata a dû revenir à la Juventus Turin où il a brillé entre 2014 et 2016.

Autant d'attaquants sur lesquels Chelsea a misé gros et qui ont donc été obligés tôt ou tard de revenir au bercail, là où ils ont tout explosé. Avec des fortunes disparates. Le constat montre une fois de plus que le Chelsea de Roman Abramovitch n'a rien fait comme les autres.


 


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