Chelsea 1 - Brentford 4. Pas idéal comme résultat avant de défier le Real Madrid il est vrai. De là à penser que les chances d'éliminer le club espagnol se sont réduites ? Comme si finalement les madrilènes allaient beaucoup mieux que les Blues de Thomas Tuchel. Les deux équipes ont à peu près sur le papier le même pourcentage de chances de passer, avec peut-être un léger avantage pour Chelsea.
On parle d'un Real Madrid qui a éliminé le PSG parce que le Paris-SG est passé maître dans l'art de distribuer des qualifications, pas parce que le Real Madrid a été dix fois supérieur au PSG. On parle d'un Real Madrid qui a été rossé par le Barça (0-4) il y a moins de vingt jours et Dieu sait que le score pouvait être encore plus large. On parle d'un Real Madrid qui aura le désavantage psychologique de la dernière confrontation. On parle d'un Real Madrid qui n'a jamais gagné un seul match contre Chelsea. On parle d'un Real Madrid trop tributaire d'un Karim Benzema et l'an passé cela n'a pas suffi...
Il est aussi vrai que Chelsea n'est pas dans la forme de sa vie mais avant cette correction bizarroïde contre Brentford, il était à 14 matchs sans défaite. Chelsea jouera aussi le retour en Espagne et cela pourrait compter contre eux. Mais si des inquiétudes existent davantage sur les chances de Chelsea contre le Real Madrid ou sur une nouvelle victoire en C1, on dirait que les sceptiques ont la mémoire courte.
Quand Chelsea a été rossé par West Bromwich Albion (2-5) le 3 avril 2021, c'est-à-dire il y a exactement un an, avant le quart de finale de C1 contre le FC Porto, on pensait que les débuts idylliques de Thomas Tuchel à Chelsea avaient vécu. Chelsea a certes battu le FC Porto à l'aller mais les hommes de Tuchel avaient été bien gênés par des portugais qui auraient mérité un autre destin.
Beaucoup pensaient encore que ce Chelsea-là allait rompre contre le Real Madrid et qu'avec le retour programmé de Sergio Ramos on verrait ce qu'on verrait. Et on a vu un Chelsea qui aurait dû marquer beaucoup plus de buts que ce qu'ont dit les scores (1-1, 2-0). Avant de soulever le trophée donc contre Manchester City. Bien entendu que prendre 4 buts contre Brentford n'est pas la meilleure préparation pour jouer une telle rencontre mais on insiste : les sceptiques ont la mémoire courte.
On parle d'un Real Madrid qui a éliminé le PSG parce que le Paris-SG est passé maître dans l'art de distribuer des qualifications, pas parce que le Real Madrid a été dix fois supérieur au PSG. On parle d'un Real Madrid qui a été rossé par le Barça (0-4) il y a moins de vingt jours et Dieu sait que le score pouvait être encore plus large. On parle d'un Real Madrid qui aura le désavantage psychologique de la dernière confrontation. On parle d'un Real Madrid qui n'a jamais gagné un seul match contre Chelsea. On parle d'un Real Madrid trop tributaire d'un Karim Benzema et l'an passé cela n'a pas suffi...
Il est aussi vrai que Chelsea n'est pas dans la forme de sa vie mais avant cette correction bizarroïde contre Brentford, il était à 14 matchs sans défaite. Chelsea jouera aussi le retour en Espagne et cela pourrait compter contre eux. Mais si des inquiétudes existent davantage sur les chances de Chelsea contre le Real Madrid ou sur une nouvelle victoire en C1, on dirait que les sceptiques ont la mémoire courte.
Quand Chelsea a été rossé par West Bromwich Albion (2-5) le 3 avril 2021, c'est-à-dire il y a exactement un an, avant le quart de finale de C1 contre le FC Porto, on pensait que les débuts idylliques de Thomas Tuchel à Chelsea avaient vécu. Chelsea a certes battu le FC Porto à l'aller mais les hommes de Tuchel avaient été bien gênés par des portugais qui auraient mérité un autre destin.
Beaucoup pensaient encore que ce Chelsea-là allait rompre contre le Real Madrid et qu'avec le retour programmé de Sergio Ramos on verrait ce qu'on verrait. Et on a vu un Chelsea qui aurait dû marquer beaucoup plus de buts que ce qu'ont dit les scores (1-1, 2-0). Avant de soulever le trophée donc contre Manchester City. Bien entendu que prendre 4 buts contre Brentford n'est pas la meilleure préparation pour jouer une telle rencontre mais on insiste : les sceptiques ont la mémoire courte.
