Suspendu deux matchs, dont un avec sursis, pour sa simulation contre l'Olympique Lyonnais qui lui avait permis d’obtenir un pénalty, l'ailier des Girondins de Bordeaux, Malcom, a sévèrement été sanctionné selon le président Stéphane Martin. En effet le dirigeant Bordelais ne comprend pas pourquoi son joueur a fait les frais d'une telle sévérité de le commission de discipline de la LFP, alors que l'attaquant de l'OL, Mariano (simulation contre le TFC) a quant à lui échappé à la patrouille.
« Je suis très surpris. Pour moi, nous sommes exactement dans le même cas de figure que celui de Mariano à savoir un contact léger à grande vitesse qui peut déséquilibrer l’attaquant. La commission a clairement montré qu’elle laissait le bénéfice du doute dans le cas de Mariano. J’aimerais que la commission accepte de publier les rapports complémentaires demandés aux arbitres ainsi que ses conclusions sur ces deux affaires a priori similaires. Le problème est que l’appel n’est pas suspensif. Le match de suspension est donc de facto automatique. Il est donc d’autant plus important que la commission ne laisse planer aucun doute quant à l’éventuel caractère arbitraire ou subjectif de ses décisions. Je suis donc certain qu’elle saura nous expliquer clairement et factuellement pourquoi ces deux cas sont aussi différents » a déclaré le président Bordelais.
« Je suis très surpris. Pour moi, nous sommes exactement dans le même cas de figure que celui de Mariano à savoir un contact léger à grande vitesse qui peut déséquilibrer l’attaquant. La commission a clairement montré qu’elle laissait le bénéfice du doute dans le cas de Mariano. J’aimerais que la commission accepte de publier les rapports complémentaires demandés aux arbitres ainsi que ses conclusions sur ces deux affaires a priori similaires. Le problème est que l’appel n’est pas suspensif. Le match de suspension est donc de facto automatique. Il est donc d’autant plus important que la commission ne laisse planer aucun doute quant à l’éventuel caractère arbitraire ou subjectif de ses décisions. Je suis donc certain qu’elle saura nous expliquer clairement et factuellement pourquoi ces deux cas sont aussi différents » a déclaré le président Bordelais.
