Antoine, son père, était coureur cycliste sur piste. Michel son frère était plus branché boxe. Et à BEZIERS, il ne se souvient pas avoir goûté au ballon ovale. Pourtant là bas, comme il le disait, l'équipe de football était constitué d'ex professionnels qui finissaient leur carrière.
Par contre, les rugbymen, eux avaient l'étiquette d'amateurs (même si tout le monde savait qu'ils étaient professionnels), et surtout, comme on disait là bas, on moins eux, ils rentrent dedans ! Bref, les footballeurs n'avaient pas la côte, on les appelait "les manchots".
Par contre, les rugbymen, eux avaient l'étiquette d'amateurs (même si tout le monde savait qu'ils étaient professionnels), et surtout, comme on disait là bas, on moins eux, ils rentrent dedans ! Bref, les footballeurs n'avaient pas la côte, on les appelait "les manchots".
C'est son voisin, Claude LAVAN, qui va le pousser à jouer au football. Il va donc chausser les crampons, et jouera avec les cadets puis, les juniors de la ville. A cette époque BEZIERS avait même réussi à rejoindre la 2ème division.
Il va choisir d'en faire son métier. En route pour le sport de compétition et l'esprit d'équipe. Un grand match à BEZIERS, c'était 12000 personnes. Mais rien à faire, BEZIERS est avant tout la ville du rugby.
Il envisage de quitter ce club, CANNES, non le club n'avait pas les moyens d'un transfert. Ok, remontons vers le nord, et pourquoi pas le RED STAR, eux sont preneurs. Bon, allez à 200 km près, on peut pousser dans le Grand Nord... surtout que les conditions financières étaient plus intéressantes. Allez top là, le voilà VALENCIENNOIS ! Nous sommes en 1971.
Il va choisir d'en faire son métier. En route pour le sport de compétition et l'esprit d'équipe. Un grand match à BEZIERS, c'était 12000 personnes. Mais rien à faire, BEZIERS est avant tout la ville du rugby.
Il envisage de quitter ce club, CANNES, non le club n'avait pas les moyens d'un transfert. Ok, remontons vers le nord, et pourquoi pas le RED STAR, eux sont preneurs. Bon, allez à 200 km près, on peut pousser dans le Grand Nord... surtout que les conditions financières étaient plus intéressantes. Allez top là, le voilà VALENCIENNOIS ! Nous sommes en 1971.
Les débuts ont été compliqués. Il ne jouait pas, VALENCIENNES faisait le yo-yo entre la D1 et la D2. Et puis Jean Pierre DESTRUMELLE est arrivé. Non seulement il va remonter le club, mais il va le relancer, lui. L'équipe marche bien, il est heureux.
Calme en apparence, sur le terrain, ce n'est plus le même homme, et le sang espagnol qu'il a dans ses veines, se met à bouillonner. C'est encore plus fort, lors des derbys face à LENS ou à LILLE. Voyez la photo ci-dessus lors d'une rencontre face à LILLE, c'est la face un peu moins calme du joueur que l'on peut voir...
Oui il se sent bien, une équipe ou le collectif est important. Avec un Pierrot NEUBERT aux commandes, ce groupe c'est une vraie équipe de copains tous soudés.
Calme en apparence, sur le terrain, ce n'est plus le même homme, et le sang espagnol qu'il a dans ses veines, se met à bouillonner. C'est encore plus fort, lors des derbys face à LENS ou à LILLE. Voyez la photo ci-dessus lors d'une rencontre face à LILLE, c'est la face un peu moins calme du joueur que l'on peut voir...
Oui il se sent bien, une équipe ou le collectif est important. Avec un Pierrot NEUBERT aux commandes, ce groupe c'est une vraie équipe de copains tous soudés.