1 - Parce que ce PSG-là n'est tout simplement pas favori face à ce Bayern Munich-là.
2 - Parce que le Bayern Munich, bien que privé de Robert Lewandowski et de Serge Gnabry, n'en fait pas tout une montagne, contrairement au PSG qui panique plus que jamais face à ses absences. Et elles sont nombreuses...
3 - Parce que même si Lewandowski est absent, et alors ? Il s'agit certes de la meilleure arme offensive bavaroise mais un Thomas Müller est bien capable de jouer avant-centre comme il l'a brillamment fait par le passé. Et même en jouant milieu offensif, il est capable de marquer beaucoup de buts. N'est-ce pas de cette manière qu'il a contribué à deux raclées historiques (Brésil 1-7 Allemagne, FC Barcelone 2-8 Bayern Munich) ?
4 - Parce qu'en plus de ses absents au milieu de terrain, de ses latéraux qui n'ont pas vraiment le niveau, l'attaque du PSG est en crise. Autrement dit un vaste chantier...
5 - Parce qu'on a connu des moments plus appropriés - bien que Pochettino n'y est pour rien - pour se lancer dans de telles expérimentations tactiques...
6 - Parce que l'ambivalence du PSG en Ligue 1 - un coup je gagne, un coup je perds... - ne passera pas en Ligue des Champions.
7 - Parce que le retour contre le Barça en huitième de finale de C1 a mis en lumière une certaine fébrilité mentale du PSG. Que les fantômes des remontadas sont encore présents dans les têtes ne serait-ce qu'un peu. Et ça ce n'est pas rassurant du tout !
8- Parce que le PSG, bien qu'excellent sur la pelouse du FC Barcelone, a brillé face à un Barça qui n'était pas performant et dont certaines failles étaient apparues au grand jour. Ce ne sera pas le même affrontement avec le Bayern Munich.
9 - Parce que le Bayern Munich est un vorace qui a encore faim de titres cette saison (leader de Bundesliga avec 7 points d'avance, 0 défaite en 8 matchs de C1).
10 - Parce que le passé à Munich a donné trois défaites au PSG avec des scores assez solides pour les allemands (5-1 en 1998, 2-0 en 2001, 3-1 en 2018).
2 - Parce que le Bayern Munich, bien que privé de Robert Lewandowski et de Serge Gnabry, n'en fait pas tout une montagne, contrairement au PSG qui panique plus que jamais face à ses absences. Et elles sont nombreuses...
3 - Parce que même si Lewandowski est absent, et alors ? Il s'agit certes de la meilleure arme offensive bavaroise mais un Thomas Müller est bien capable de jouer avant-centre comme il l'a brillamment fait par le passé. Et même en jouant milieu offensif, il est capable de marquer beaucoup de buts. N'est-ce pas de cette manière qu'il a contribué à deux raclées historiques (Brésil 1-7 Allemagne, FC Barcelone 2-8 Bayern Munich) ?
4 - Parce qu'en plus de ses absents au milieu de terrain, de ses latéraux qui n'ont pas vraiment le niveau, l'attaque du PSG est en crise. Autrement dit un vaste chantier...
5 - Parce qu'on a connu des moments plus appropriés - bien que Pochettino n'y est pour rien - pour se lancer dans de telles expérimentations tactiques...
6 - Parce que l'ambivalence du PSG en Ligue 1 - un coup je gagne, un coup je perds... - ne passera pas en Ligue des Champions.
7 - Parce que le retour contre le Barça en huitième de finale de C1 a mis en lumière une certaine fébrilité mentale du PSG. Que les fantômes des remontadas sont encore présents dans les têtes ne serait-ce qu'un peu. Et ça ce n'est pas rassurant du tout !
8- Parce que le PSG, bien qu'excellent sur la pelouse du FC Barcelone, a brillé face à un Barça qui n'était pas performant et dont certaines failles étaient apparues au grand jour. Ce ne sera pas le même affrontement avec le Bayern Munich.
9 - Parce que le Bayern Munich est un vorace qui a encore faim de titres cette saison (leader de Bundesliga avec 7 points d'avance, 0 défaite en 8 matchs de C1).
10 - Parce que le passé à Munich a donné trois défaites au PSG avec des scores assez solides pour les allemands (5-1 en 1998, 2-0 en 2001, 3-1 en 2018).
11 - Parce que Keylor Navas a beau enfin être le grand gardien tant attendu depuis 2011, tout Keylor qu'il est n'a rien pu faire pour empêcher Kingsley Coman de subtiliser la finale de C1 l'an dernier.
12 - Parce que ce même Kingsley Coman ne se gênera pas pour recommencer. D'autant qu'il est dans la forme de sa vie.
13 - Parce qu'Eric-Maxim Choupo-Moting peut tout aussi être le héros plus ou moins inattendu. Un peu comme Demba Ba avec Chelsea en 2014. D'autant que les anciens parisiens aiment ça: punir le PSG.
14 - Parce que le PSG a gagné aucune Ligue des Champions. Le Bayern Munich en a six. C'est ainsi.
15 - Parce que quoi qu'on en dise, le Bayern Munich sait qu'il a affaire à un adversaire de taille et cela ne le rendra que plus sérieux dans l'approche du match et le match lui-même. Et quand les allemands sont sérieux...
16 - Parce que le Bayern joue le match aller à domicile. Il voudra ainsi faire le meilleur résultat possible face aux parisiens, marquer le maximum de buts. Et ils savent faire.
17 - Parce qu'on se demande encore concrètement s'il y a eu une vraie évolution depuis que Mauricio Pochettino a pris les rênes du PSG.
18 - Parce que la dernière fois que Mauricio Pochettino a affronté le Bayern Munich, cela s'est très mal passé (2-7, 1-3). Et ce n'est pas Robert Lewandowski qui avait planté un quadruplé...
19 - Parce que si l'entraîneur commence à sous-entendre que son parcours parisien devrait être jugé l'an prochain, c'est comme s'il reconnaissait d'une certaine manière certaines difficultés. Pas très rassurant...
20 - Parce que le PSG, bien que finaliste l'an passé dans un format inédit mais finaliste tout de même, cultive cette culture de l'échec en quarts de finale. Le Bayern Munich, lui, est repu de ce genre de matchs. L'approche mentale de la rencontre est facile pour elle.
12 - Parce que ce même Kingsley Coman ne se gênera pas pour recommencer. D'autant qu'il est dans la forme de sa vie.
13 - Parce qu'Eric-Maxim Choupo-Moting peut tout aussi être le héros plus ou moins inattendu. Un peu comme Demba Ba avec Chelsea en 2014. D'autant que les anciens parisiens aiment ça: punir le PSG.
14 - Parce que le PSG a gagné aucune Ligue des Champions. Le Bayern Munich en a six. C'est ainsi.
15 - Parce que quoi qu'on en dise, le Bayern Munich sait qu'il a affaire à un adversaire de taille et cela ne le rendra que plus sérieux dans l'approche du match et le match lui-même. Et quand les allemands sont sérieux...
16 - Parce que le Bayern joue le match aller à domicile. Il voudra ainsi faire le meilleur résultat possible face aux parisiens, marquer le maximum de buts. Et ils savent faire.
17 - Parce qu'on se demande encore concrètement s'il y a eu une vraie évolution depuis que Mauricio Pochettino a pris les rênes du PSG.
18 - Parce que la dernière fois que Mauricio Pochettino a affronté le Bayern Munich, cela s'est très mal passé (2-7, 1-3). Et ce n'est pas Robert Lewandowski qui avait planté un quadruplé...
19 - Parce que si l'entraîneur commence à sous-entendre que son parcours parisien devrait être jugé l'an prochain, c'est comme s'il reconnaissait d'une certaine manière certaines difficultés. Pas très rassurant...
20 - Parce que le PSG, bien que finaliste l'an passé dans un format inédit mais finaliste tout de même, cultive cette culture de l'échec en quarts de finale. Le Bayern Munich, lui, est repu de ce genre de matchs. L'approche mentale de la rencontre est facile pour elle.
Même si...
Le PSG a beau se présenter sans trop de repères, ne comptera peut-être que sur des exploits de ses stars tant le chantier est vaste, il a tout de même montré jadis qu'il pouvait battre n'importe quelle équipe en C1. Les Mbappé, Neymar, Di Maria et consorts sont en ce moment critiqués et arrive un big match pour effacer lesdites critiques, prendre une revanche sur la dernière finale mais surtout avancer vers l'objectif final. Mbappé était fustigé et a remis les pendules à l'heure à Barcelone. Certes, le Bayern Munich reste le Bayern même sans son leader d'attaque mais si le PSG veut gagner la C1, cela passe par ces matchs-là. Mettre une raclée chez un Barça même moyen témoigne aussi de ce qu'est capable de produire le PSG. S'il dispute deux matchs sérieux, ne joue pas la peur au ventre comme au retour, il aura une carte à jouer. Une vrai. Gageons que des gars comme Thilo Kehrer sortent le match de leur vie...