Les amoureux du football vont devoir prendre leur mal en patience. Dans une période de la saison où la très contestée trêve internationale revient, tout le monde attend désormais les quarts de finale de Ligue des Champions qui livrera des affrontements XXL comme Bayern-PSG. On parle ainsi de la dernière finale de C1.
Ce match sera marqué par la présence de nombreux Frenchies sur le terrain. Interrogé par le quotidien L'Equipe au sujet de cet immense combat en perspective, Lucas Hernandez en a profité pour saluer les forces du PSG."Ce sera un très gros match, un rendez-vous pour se faire plaisir. Ce ne sera pas facile d’éliminer le PSG, qui sera un peu revanchard par rapport à la dernière finale. Les Parisiens auront de l’envie mais nous aussi". a reconnu le bavarois.
Ce match sera marqué par la présence de nombreux Frenchies sur le terrain. Interrogé par le quotidien L'Equipe au sujet de cet immense combat en perspective, Lucas Hernandez en a profité pour saluer les forces du PSG."Ce sera un très gros match, un rendez-vous pour se faire plaisir. Ce ne sera pas facile d’éliminer le PSG, qui sera un peu revanchard par rapport à la dernière finale. Les Parisiens auront de l’envie mais nous aussi". a reconnu le bavarois.
Lucas Hernandez ne fera aucun cadeau à Kylian Mbappé
Le champion du monde français a aussi averti Kylian Mbappé sur le ton de la plaisanterie bien entendu. Auteur d'un triplé décisif contre le Barça, l'ancien monégasque sera très attendu contre le club allemand après avoir immensément déçu en finale.
"Mbappé ? Si je dois l’affronter, je lui dirai deux, trois mots pour qu’il reste tranquille. Je lui dirai surtout qu’il a intérêt à jouer côté gauche parisien (rires). S’il vient sur la droite, ce sera la guerre. Je plaisante, mais c’est vrai qu’il a beaucoup de talent et il faudra être très vigilant avec lui ". Une guerre sainte dans ce cas alors.
"Mbappé ? Si je dois l’affronter, je lui dirai deux, trois mots pour qu’il reste tranquille. Je lui dirai surtout qu’il a intérêt à jouer côté gauche parisien (rires). S’il vient sur la droite, ce sera la guerre. Je plaisante, mais c’est vrai qu’il a beaucoup de talent et il faudra être très vigilant avec lui ". Une guerre sainte dans ce cas alors.