Désormais libre comme l'air après avoir passé 22 ans sur le banc d'Arsenal, Arsène Wenger s'est confié à BeIN Sports au sujet de son avenir. Un avenir toujours flou dans l'esprit du technicien Français.
"Je ne sais pas. Je suis un peu devant le vide. Je sors juste de mon dernier match. 48 heures de réflexion, ce n'est pas suffisant. Je suis encore sous le choc. Je me donne jusqu'au 14 juin pour décider de mon avenir, pour savoir si je continue d'entraîner ou si j'entre dans une autre fonction. Ce qui est sûr, c'est que je vais continuer à travailler. J'ai une page blanche devant moi. Je ne sais pas si j'ai envie de continuer à souffrir autant. Je veux continuer à m'engager pour mes idées. De quelle façon ? Je n'en sais rien." a déclaré Wenger.
"Je ne sais pas. Je suis un peu devant le vide. Je sors juste de mon dernier match. 48 heures de réflexion, ce n'est pas suffisant. Je suis encore sous le choc. Je me donne jusqu'au 14 juin pour décider de mon avenir, pour savoir si je continue d'entraîner ou si j'entre dans une autre fonction. Ce qui est sûr, c'est que je vais continuer à travailler. J'ai une page blanche devant moi. Je ne sais pas si j'ai envie de continuer à souffrir autant. Je veux continuer à m'engager pour mes idées. De quelle façon ? Je n'en sais rien." a déclaré Wenger.
Pas de discussions avec le PSG
«Je n'ai eu aucune discussion avec eux récemment, je peux vous le dire en toute honnêteté. (...) J'ai toujours été proche des responsables du PSG - je leur ai conseillé d'acheter le club parce que j'étais convaincu qu'il y avait de grandes choses à faire dans une ville qui aime le footbal. Ils ont bien travaillé et pris un bon départ. Je pense que les gens sont trop durs avec eux, trop exigeants. Le PSG vient de remporter les quatre trophées nationaux en France et ce n'est pas suffisant, apparemment. Mais vous ne pouvez pas construire un club avec l'idée que si vous ne gagnez pas la Ligue des champions, c'est un échec.» a t'il déclaré dans des propos relayés par les médias Anglais.