Papu Gómez, qui avait signé avec Monza en Serie A il y a quelques semaines, a été suspendu pour deux ans après avoir été contrôlé positif lors d'un test antidopage en novembre 2022, selon les informations du média Relevo. L'ancien joueur du FC Séville a été contrôlé positif à une substance interdite quelques jours avant le début de la Coupe du Monde.
Lors d'un entraînement du FC Séville, les médecins sont arrivés à l'improviste pour effectuer un contrôle antidopage et ont détecté la présence de la substance interdite dans le corps de l'Argentin.
Selon sa version des faits, il avait pris un sirop pour enfants sans avoir consulté les médecins du club, après avoir passé une mauvaise nuit quelques jours auparavant. Cependant, cette justification n'a pas été acceptée par les autorités antidopage, qui ont sanctionné le joueur pour ne pas avoir respecté les règles en vigueur.
Cette suspension de deux ans met la carrière de Papu Gomez en péril. Bien qu'il ait reçu une autorisation pour participer à la Coupe du Monde au Qatar avec sa sélection, cette sanction risque de l'empêcher de jouer pendant deux ans. Le joueur et le FC Séville étaient au courant de cette affaire depuis plusieurs mois, mais ils ont reçu la sanction cette semaine.
Cette situation a également été un obstacle à la recherche d'un club pour Papu pendant l'été, car aucun club ne voulait prendre de risques face à cette possible sanction qui était en attente de décision. Finalement, les parties ont convenu de la résiliation du contrat du joueur, qui devait se terminer en 2024, le dernier jour du mercato.
Malgré les arguments présentés par Papu Gómez pour éviter une sanction, les règles antidopage sont très claires et il est de la responsabilité du joueur de consulter la Liste des Substances Interdites de l'Agence Mondiale Antidopage (AMA).
Lors d'un entraînement du FC Séville, les médecins sont arrivés à l'improviste pour effectuer un contrôle antidopage et ont détecté la présence de la substance interdite dans le corps de l'Argentin.
Selon sa version des faits, il avait pris un sirop pour enfants sans avoir consulté les médecins du club, après avoir passé une mauvaise nuit quelques jours auparavant. Cependant, cette justification n'a pas été acceptée par les autorités antidopage, qui ont sanctionné le joueur pour ne pas avoir respecté les règles en vigueur.
Cette suspension de deux ans met la carrière de Papu Gomez en péril. Bien qu'il ait reçu une autorisation pour participer à la Coupe du Monde au Qatar avec sa sélection, cette sanction risque de l'empêcher de jouer pendant deux ans. Le joueur et le FC Séville étaient au courant de cette affaire depuis plusieurs mois, mais ils ont reçu la sanction cette semaine.
Cette situation a également été un obstacle à la recherche d'un club pour Papu pendant l'été, car aucun club ne voulait prendre de risques face à cette possible sanction qui était en attente de décision. Finalement, les parties ont convenu de la résiliation du contrat du joueur, qui devait se terminer en 2024, le dernier jour du mercato.
Malgré les arguments présentés par Papu Gómez pour éviter une sanction, les règles antidopage sont très claires et il est de la responsabilité du joueur de consulter la Liste des Substances Interdites de l'Agence Mondiale Antidopage (AMA).
De plus, lorsqu'une infraction est commise, il n'est pas valable de prétendre qu'un médecin l'a mal conseillé, car cela ne le dégagera pas des éventuelles conséquences et c'est le joueur lui-même qui est ultimement responsable de ce qui pénètre dans son organisme.
Cependant, il existe des exceptions pour les athlètes qui, pour des raisons médicales légitimes, doivent consommer une substance ou utiliser une méthode interdite figurant sur la liste.
Dans ce cas, l'autorisation d'usage thérapeutique (AUT) leur permettra de recevoir le traitement sans risquer d'être sanctionnés si une substance interdite est détectée lors d'un contrôle antidopage.
Les athlètes doivent soumettre une demande d'AUT qui sera étudiée par un panel d'experts en médecine sélectionnés pour leur expérience dans le traitement des athlètes et leurs connaissances pratiques en médecine clinique, sportive et d'entraînement.
Si l'AUT est accordée, le joueur sera alors autorisé à prendre le médicament. Cependant, chaque fois qu'il devra se soumettre à un contrôle antidopage, il devra informer de l'AUT et du médicament consommé.
Cependant, il existe des exceptions pour les athlètes qui, pour des raisons médicales légitimes, doivent consommer une substance ou utiliser une méthode interdite figurant sur la liste.
Dans ce cas, l'autorisation d'usage thérapeutique (AUT) leur permettra de recevoir le traitement sans risquer d'être sanctionnés si une substance interdite est détectée lors d'un contrôle antidopage.
Les athlètes doivent soumettre une demande d'AUT qui sera étudiée par un panel d'experts en médecine sélectionnés pour leur expérience dans le traitement des athlètes et leurs connaissances pratiques en médecine clinique, sportive et d'entraînement.
Si l'AUT est accordée, le joueur sera alors autorisé à prendre le médicament. Cependant, chaque fois qu'il devra se soumettre à un contrôle antidopage, il devra informer de l'AUT et du médicament consommé.