Défait ce weekend sur la pelouse du RC Strasbourg (2-1), un concurrent direct au maintien, Angers SCO se dirige à grands pas vers la Ligue 2. Si mathématiquement rien n'est acté, il faudrait plus qu'un miracle pour que le club angevin puisse sauver sa tête dans l'élite du foot français.
Avec seulement 10 points au compteur en 24 matchs, le SCO dispose de 10 points de retard sur le premier non relégable, Brest. Si on considère que le maintien se jouera à 36 minimum, Angers va devoir empocher au moins 26 points sur 42 possibles. Un défi qui semble impossible à réaliser, d'autant plus que les hommes de Abdel Bouhazama doivent encore affronter Lyon, Lens, Nice, Lille, Paris, Rennes, Monaco, Marseille ou encore Reims d'ici la fin de saison. 9 équipes dans le top 10 de Ligue 1. Et pourtant Saïd Chabane veut encore y croire.
Avec seulement 10 points au compteur en 24 matchs, le SCO dispose de 10 points de retard sur le premier non relégable, Brest. Si on considère que le maintien se jouera à 36 minimum, Angers va devoir empocher au moins 26 points sur 42 possibles. Un défi qui semble impossible à réaliser, d'autant plus que les hommes de Abdel Bouhazama doivent encore affronter Lyon, Lens, Nice, Lille, Paris, Rennes, Monaco, Marseille ou encore Reims d'ici la fin de saison. 9 équipes dans le top 10 de Ligue 1. Et pourtant Saïd Chabane veut encore y croire.
Saïd Chabane croit encore au maintien
" Je leur ai dit dans le vestiaire : vous n’avez plus rien à perdre, alors restez sur la même longueur d’onde que ce que vous avez montré en deuxième mi-temps. Et ça va finir par payer. On est derniers du championnat, il faut lâcher les chevaux. La Ligue 2, je n’en parle pas. Tant que mathématiquement, ce n’est pas acquis, on n’a pas le droit de prononcer ce mot. Le discours face au joueur ne doit pas aller dans ce sens-là. On a encore une chance de se maintenir. Si notre descente est actée sur le plan comptable, on fera face à cette réalité. ", a t'il confié dans des propos relayés par Ouest France, avant de tacler l'arbitrage et la LFP.
"On va dire que c’est l’année où l’arbitrage n’est pas de notre côté… L’année où l’arbitrage a eu des instructions peut-être ? On peut tout imagine mais c’est une erreur de trop. Depuis le début de la saison, on a six ou sept décisions en notre défaveur. Peut-être qu’à la Ligue, on nous a condamné depuis novembre mais nous, on se battra jusqu’au bout."
Une probable relégation qui était hélas prévisible au regard des deux dernières périodes de mercato. De nombreux cadres ont quitté le SCO l'été dernier sans avoir été remplacés en termes d'expérience. Et que dire des départs cet hiver de Sofiane Boufal et Azzedine Ounahi qui n'ont pas été compensés. Angers s'est mis une balle dans le pied, et Saïd Chabane est en grande partie responsable de cette débandade.
Il est donc temps de ne plus se voiler la face et de préparer activement la prochaine saison en Ligue 2.
"On va dire que c’est l’année où l’arbitrage n’est pas de notre côté… L’année où l’arbitrage a eu des instructions peut-être ? On peut tout imagine mais c’est une erreur de trop. Depuis le début de la saison, on a six ou sept décisions en notre défaveur. Peut-être qu’à la Ligue, on nous a condamné depuis novembre mais nous, on se battra jusqu’au bout."
Une probable relégation qui était hélas prévisible au regard des deux dernières périodes de mercato. De nombreux cadres ont quitté le SCO l'été dernier sans avoir été remplacés en termes d'expérience. Et que dire des départs cet hiver de Sofiane Boufal et Azzedine Ounahi qui n'ont pas été compensés. Angers s'est mis une balle dans le pied, et Saïd Chabane est en grande partie responsable de cette débandade.
Il est donc temps de ne plus se voiler la face et de préparer activement la prochaine saison en Ligue 2.
