Après de nombreuses semaines d'incertitude concernant les Droits TV, le feuilleton est arrivé à son dénouement dimanche dernier. En effet, les clubs de Ligue 1 ont accepté l'offre combinée à hauteur de 500 millions d'euros brut de DAZN et beIN Sports pour la diffusion du championnat sur la période 2024-2029.
Un accord par défaut pour éviter que cela tourne à la catastrophe financière pour les clubs de Ligue 1. C'est ce qu'a confié le propriétaire de Angers SCO, Saïd Chabane, dans un entretien accordé à Ouest France.
"Sur le plan stratégique, c’est la chaîne de la Ligue qui primait. Mais sur le plan opérationnel, on ne pouvait pas faire autrement. (...) Donc on peut dire merci à beIN, merci au Qatar d’être venu autour de la table, sinon, ce n’était pas catastrophique, mais la fin du football professionnel en France. On a évité la catastrophe, mais pour un club comme le SCO, c’est compliqué.", a t'il confié.
Un soulagement de façade pour Saïd Chabane qui va toutefois devoir revoir les ambitions "mercato" du SCO à la baisse cet été. En effet, la grosse baisse de la dotation des Droits TV va engendrer un manque à gagner conséquent pour le club angevin, qui table déjà sur un déficit budgétaire d'environ 10 millions d'euros entre le plan présenté à la DNCG et sur les projections affinées sur la saison 2024-2025.
Cette situation va donc obliger les clubs de Ligue 1 à revoir leur politique sportive et surtout à réduire la voilure au niveau de la masse salariale.
Un accord par défaut pour éviter que cela tourne à la catastrophe financière pour les clubs de Ligue 1. C'est ce qu'a confié le propriétaire de Angers SCO, Saïd Chabane, dans un entretien accordé à Ouest France.
"Sur le plan stratégique, c’est la chaîne de la Ligue qui primait. Mais sur le plan opérationnel, on ne pouvait pas faire autrement. (...) Donc on peut dire merci à beIN, merci au Qatar d’être venu autour de la table, sinon, ce n’était pas catastrophique, mais la fin du football professionnel en France. On a évité la catastrophe, mais pour un club comme le SCO, c’est compliqué.", a t'il confié.
Un soulagement de façade pour Saïd Chabane qui va toutefois devoir revoir les ambitions "mercato" du SCO à la baisse cet été. En effet, la grosse baisse de la dotation des Droits TV va engendrer un manque à gagner conséquent pour le club angevin, qui table déjà sur un déficit budgétaire d'environ 10 millions d'euros entre le plan présenté à la DNCG et sur les projections affinées sur la saison 2024-2025.
Cette situation va donc obliger les clubs de Ligue 1 à revoir leur politique sportive et surtout à réduire la voilure au niveau de la masse salariale.