Bernard Caïazzo n'y va pas par quatre chemins. L'ancien dirigeant stéphanois est furieux d'avoir été écarté du reportage de Complément d'Enquête sur Nasser Al-Khelaïfi et le PSG. "J'ai perdu du temps", fulmine-t-il auprès de Footmercato, révélant avoir été sollicité pendant des semaines avant d'être finalement zappé au montage. Cette décision de dernière minute a mis le feu aux poudres, Caïazzo n'hésitant pas à qualifier l'émission "d'à charge à fond" contre le président du PSG.
Loin de s'arrêter là, Caïazzo contre-attaque sur le fond du reportage. Il pointe du doigt le manque de connaissance du football des journalistes, qualifiant certaines allégations de "plaisanteries". L'ancien dirigeant balaie d'un revers de main l'idée d'une armée numérique contrôlée par le PSG, arguant qu'avec "100 millions de supporters", 60 personnes à Tunis ne peuvent pas influencer la tendance. Caïazzo va même jusqu'à dresser un portrait élogieux de Nasser Al-Khelaïfi, le décrivant comme "le plus délicieux des présidents" dans les coulisses du Parc des Princes.
Dans ce match médiatique, Bernard Caïazzo a clairement choisi son camp, renvoyant Complément d'Enquête aux vestiaires et brossant un portrait très élogieux de Nasser Al-Khelaïfi.
Loin de s'arrêter là, Caïazzo contre-attaque sur le fond du reportage. Il pointe du doigt le manque de connaissance du football des journalistes, qualifiant certaines allégations de "plaisanteries". L'ancien dirigeant balaie d'un revers de main l'idée d'une armée numérique contrôlée par le PSG, arguant qu'avec "100 millions de supporters", 60 personnes à Tunis ne peuvent pas influencer la tendance. Caïazzo va même jusqu'à dresser un portrait élogieux de Nasser Al-Khelaïfi, le décrivant comme "le plus délicieux des présidents" dans les coulisses du Parc des Princes.
Dans ce match médiatique, Bernard Caïazzo a clairement choisi son camp, renvoyant Complément d'Enquête aux vestiaires et brossant un portrait très élogieux de Nasser Al-Khelaïfi.