Tenue en échec sur sa pelouse face à Dijon (2-2), l'AS Saint-Etienne a fait preuve d'une certaine fébrilité défensive. Un constat partagé par de nombreux observateurs foot dont Robert Herbin, qui dans les colonnes du Progrès ne s'est pas montré tendre à l'égard de Loïc Perrin et Neven Subotic.
« Notre équipe n’a pas été compétitive en raison en particulier du comportement de la défense centrale. Il y a de l’ordre à remettre dans ce secteur de jeu. On ne sent pas de cohésion, de complicité entre Perrin et Subotic. Le second a besoin d’une période d’adaptation sans doute. Il a été à plusieurs reprises mal placé. Quant à Loïc, il devrait plus s’affirmer, donner de la voix mais il est de nature modeste et a du mal à se faire violence. De plus, il a montré de la retenue et une certaine fébrilité ces derniers temps. A-t-il de l’appréhension à jouer et se livrer à fond en raison des blessures qu’il a pu connaître auparavant ? Ça peut être un frein psychologique. Il n’est pas sécurisant, pas plus que Subotic. Du coup, il n’y a pas de patron derrière » a confié Herbin.
« Notre équipe n’a pas été compétitive en raison en particulier du comportement de la défense centrale. Il y a de l’ordre à remettre dans ce secteur de jeu. On ne sent pas de cohésion, de complicité entre Perrin et Subotic. Le second a besoin d’une période d’adaptation sans doute. Il a été à plusieurs reprises mal placé. Quant à Loïc, il devrait plus s’affirmer, donner de la voix mais il est de nature modeste et a du mal à se faire violence. De plus, il a montré de la retenue et une certaine fébrilité ces derniers temps. A-t-il de l’appréhension à jouer et se livrer à fond en raison des blessures qu’il a pu connaître auparavant ? Ça peut être un frein psychologique. Il n’est pas sécurisant, pas plus que Subotic. Du coup, il n’y a pas de patron derrière » a confié Herbin.