Invité par France Bleu à s'exprimer sur l'échec des négociations avec le fonds d'investissement américain Peak6, le président du comité de surveillance de l'AS Saint-Etienne, Bernard Caïazzo, n'est pas allé avec le dos de la cuillère pour allumer la firme américaine.
«Les investissements étaient bien inférieurs à ce qui avait été promis, a dénoncé Caïazzo sur France Bleu. On nous parlait de concurrencer Lyon, Monaco ou Marseille. Quand a on vu en réalité ce qu'ils voulaient mettre, c'est un manque d'ambition. (…) Si c'est pour laisser l'ASSE à des gens qui vont mettre les mêmes moyens qu'à Nice, Rennes ou Bordeaux, des moyens que nous aussi on peut mettre... Ce n'est pas du tout le projet ambitieux sur lequel on s'était mis d'accord. (...) Le deuxième point, qui a été la goutte d'eau qui a fait déborder le vase, c'est quand ils nous ont dit : "il faut prévoir aussi les indemnités de licenciement de Jean-Louis Gasset." Ça pour nous, ce sont les valeurs historiques de l'ASSE, il est hors de question de les bafouer. (...) Et ça a été une fin de non-recevoir totale, même s'ils avaient mis 300 millions d'euros, a-t-il ajouté. (…) Nous ne faisons pas passer l'argent avant les valeurs humaines. Ça n'existe pas dans la région dans laquelle nous sommes.» a déclaré sans langue de bois Caïazzo.
«Les investissements étaient bien inférieurs à ce qui avait été promis, a dénoncé Caïazzo sur France Bleu. On nous parlait de concurrencer Lyon, Monaco ou Marseille. Quand a on vu en réalité ce qu'ils voulaient mettre, c'est un manque d'ambition. (…) Si c'est pour laisser l'ASSE à des gens qui vont mettre les mêmes moyens qu'à Nice, Rennes ou Bordeaux, des moyens que nous aussi on peut mettre... Ce n'est pas du tout le projet ambitieux sur lequel on s'était mis d'accord. (...) Le deuxième point, qui a été la goutte d'eau qui a fait déborder le vase, c'est quand ils nous ont dit : "il faut prévoir aussi les indemnités de licenciement de Jean-Louis Gasset." Ça pour nous, ce sont les valeurs historiques de l'ASSE, il est hors de question de les bafouer. (...) Et ça a été une fin de non-recevoir totale, même s'ils avaient mis 300 millions d'euros, a-t-il ajouté. (…) Nous ne faisons pas passer l'argent avant les valeurs humaines. Ça n'existe pas dans la région dans laquelle nous sommes.» a déclaré sans langue de bois Caïazzo.