Sur la pelouse d'Auguste Bonal, l'AS Nancy s'est incliné (1-0) contre Sochaux, un des prétendant à la montée en Ligue 1 la saison prochaine. Les Nancéiens enregistrent leur sixième revers sur les sept dernières rencontres disputées. Un triste bilan qui condamne pratiquement le club en National.
Lanterne rouge du championnat, le club lorrain compte désormais 10 points de retard sur Rodez, premier club non relégable, à six journée de la fin. En conférence de presse, l'entraîneur Albert Cartier n'abdique pas et garde espoir malgré le peu de matchs qu'il reste à son équipe. Les équipes de la zone rouge patinent aussi, ce qui permet d'entretenir l'espoir.
Lanterne rouge du championnat, le club lorrain compte désormais 10 points de retard sur Rodez, premier club non relégable, à six journée de la fin. En conférence de presse, l'entraîneur Albert Cartier n'abdique pas et garde espoir malgré le peu de matchs qu'il reste à son équipe. Les équipes de la zone rouge patinent aussi, ce qui permet d'entretenir l'espoir.
Sous haute tension
La fin de cette conférence de presse a été marquée par la violente altercation entre un journaliste et l'entraîneur lorrain. Après avoir évoqué le premier tour des présidentielles, un des journalistes dans la salle est venu contester ses propos : "Les sondages vous donnent tort en quelque sorte.", a balancé ce dernier.
Une remarque qui n'a pas plu à Albert Cartier qui s'est empressé de répondre, mettant fin à la conférence de presse.
"Oui, bon il ne te donne pas raison non plus. Derrière ton petit micro, il faut rester poli. Faut rester poli, reste humble, dans l'humilité, tu manques de politesse.", s'est énervé le coach nancéien. Avant de quitter la salle, il a lâché un "Tu sais bien pourquoi je te tutoies" en direction du journaliste en question. Un message caché ?
Une remarque qui n'a pas plu à Albert Cartier qui s'est empressé de répondre, mettant fin à la conférence de presse.
"Oui, bon il ne te donne pas raison non plus. Derrière ton petit micro, il faut rester poli. Faut rester poli, reste humble, dans l'humilité, tu manques de politesse.", s'est énervé le coach nancéien. Avant de quitter la salle, il a lâché un "Tu sais bien pourquoi je te tutoies" en direction du journaliste en question. Un message caché ?