L'ASNL est désormais condamné. Le club lorrain n'avait quasiment plus de chances de se sauver en Ligue 2. Mais vendredi soir, la lanterne rouge Nancy avait rendez-vous avec Quevilly-Rouen (18e) pour le match de la "dernière chance". Au stade Marcel Picot, les Nancéiens n'ont rien pu faire face à leur concurrent direct (3-0). La rencontre a été interrompue à la 40e minute suite aux jets de fumigènes des supporters lorrains, furieux du résultat.
Dans l'attente de la commission de discipline qui se réunira lundi pour prendre une décision sur le dénouement du match, l'ancien président de l'AS Nancy entre 1994 et 2020, Jacques Rousselot, a partagé sa tristesse dans les colonnes du Républicain Lorrain.
"Ma première réaction ? C'est de la tristesse forcément. C'est difficile de vous faire ressentir à quel point ça me fait mal de voir l'ASNL dans cet état. On a traversé des périodes difficiles, très difficiles même durant toutes mes années à la présidence. Mais on a toujours trouvé des solutions parce qu'il y avait un attachement au club et des valeurs qui ont complètement disparu aujourd'hui.", a regretté l'homme de 72 ans.
Dans l'attente de la commission de discipline qui se réunira lundi pour prendre une décision sur le dénouement du match, l'ancien président de l'AS Nancy entre 1994 et 2020, Jacques Rousselot, a partagé sa tristesse dans les colonnes du Républicain Lorrain.
"Ma première réaction ? C'est de la tristesse forcément. C'est difficile de vous faire ressentir à quel point ça me fait mal de voir l'ASNL dans cet état. On a traversé des périodes difficiles, très difficiles même durant toutes mes années à la présidence. Mais on a toujours trouvé des solutions parce qu'il y avait un attachement au club et des valeurs qui ont complètement disparu aujourd'hui.", a regretté l'homme de 72 ans.