Quel mercato estival pour le PSG ? Si les pistes menant à Randal Kolo Muani ou encore Victor Osimhen et Bernardo Silva sont bien creusées par Luis Campos, d'autres dossiers plairaient fortement à QSI et à Kylian Mbappé comme ceux de Jean-Clair Todibo ainsi que Manu Koné et les deux frères Thuram, Khéphren et Marcus.
Mais alors que Mohammed Kudus , qui souhaite quitter l'Ajax Amsterdam, aurait d'ores et déjà donné son accord au Paris Saint-Germain en vue d'un éventuel transfert en fin de saison, le club parisien dirigé par Nasser Al-Khelaïfi devra rapidement trancher pour Lionel Messi et Sergio Ramos, qui arriveront tous deux en fin de contrat en juin.
Mais alors que Mohammed Kudus , qui souhaite quitter l'Ajax Amsterdam, aurait d'ores et déjà donné son accord au Paris Saint-Germain en vue d'un éventuel transfert en fin de saison, le club parisien dirigé par Nasser Al-Khelaïfi devra rapidement trancher pour Lionel Messi et Sergio Ramos, qui arriveront tous deux en fin de contrat en juin.
L'Emir du Qatar aimerait secrètement faire venir de Zinedine Zidane le successeur de Christophe Galtier sur le banc du PSG, tout en prolongeant Lionel Messi. Mais la donne ne s'annonce pas simple puisque la tendance serait plutôt vers un départ de La Pulga lors du prochain mercato estival (retour au Barça ou départ pour Al-Hilal en Arabie Saoudite avec l'objectif de challenger le Al-Nassr de Cristiano Ronaldo).
Mais qu'on se le dise, si l'international argentin venait à quitter les pensionnaires du Parc des Princes à l'issue de cet exercice 2022-2023, l'actuel leader de Ligue 1 réduira ainsi sa masse salariale de façon encore plus conséquente. Pas une mauvaise chose d'autant plus que, contre toute attente, le PSG ne devrait finalement pas du tout être embêté par le fair play financier pour recruter puisque le déficit de 60M€ aurait bien été réduit et le club de la capitale pourrait bien revenir à l'équilibre lors des deux prochaines saisons.
Et ce notamment grâce aux 200M€ qui seront versés par le groupe CVC Partners, mais pas que, puisque les recettes liées à la billetterie et les revenus sponsoring seraient à nouveau en hausse cette saison. C'est pourquoi la formation où évolue l'excellent Kylian Mbappé devrait même réaliser un peu plus de 810 millions d'euros de chiffres d'affaires, ce qui ferait du Paris SG le cinquième club européen à avoir généré le plus d'argent durant cet exercice.
De quoi promettre un incroyable mercato au Qatar (Jude Bellingham, Victor Osimhen, Bernardo Silva ?), qui pourrait également se dégager encore un peu plus de masse salariale en cas de transfert de Neymar vers Chelsea, et qui aura forcément de grandes ambitions cet été afin de faire oublier cette triste saison actuelle, qualifiée pour beaucoup comme la pire de l'ère QSI.
Mais qu'on se le dise, si l'international argentin venait à quitter les pensionnaires du Parc des Princes à l'issue de cet exercice 2022-2023, l'actuel leader de Ligue 1 réduira ainsi sa masse salariale de façon encore plus conséquente. Pas une mauvaise chose d'autant plus que, contre toute attente, le PSG ne devrait finalement pas du tout être embêté par le fair play financier pour recruter puisque le déficit de 60M€ aurait bien été réduit et le club de la capitale pourrait bien revenir à l'équilibre lors des deux prochaines saisons.
Et ce notamment grâce aux 200M€ qui seront versés par le groupe CVC Partners, mais pas que, puisque les recettes liées à la billetterie et les revenus sponsoring seraient à nouveau en hausse cette saison. C'est pourquoi la formation où évolue l'excellent Kylian Mbappé devrait même réaliser un peu plus de 810 millions d'euros de chiffres d'affaires, ce qui ferait du Paris SG le cinquième club européen à avoir généré le plus d'argent durant cet exercice.
De quoi promettre un incroyable mercato au Qatar (Jude Bellingham, Victor Osimhen, Bernardo Silva ?), qui pourrait également se dégager encore un peu plus de masse salariale en cas de transfert de Neymar vers Chelsea, et qui aura forcément de grandes ambitions cet été afin de faire oublier cette triste saison actuelle, qualifiée pour beaucoup comme la pire de l'ère QSI.