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Toulouse FC : Une star en Hongrie, le TFC l'adore !


Dimanche 28 Avril 2024 10:35 - écrit par

Né en 1948 à BUDAPEST, il deviendra un défenseur important dans l'équipe nationale hongroise. Son père jouera avec une autre star hongroise mondialement connue, PUSKAS. Il va rapidement taper dans l’œil des dirigeants de FERENCVAROS et va vite devenir le patron de l’équipe.



Toulouse FC : Une star en Hongrie, le TFC l'adore !
Il engrangera 76 sélections en équipe de Hongrie.
Il sera médaillé d’argent aux JO de 1972, vous vous souvenez, les JO de MUNICH ! Les hongrois vont expédier la RDA 2-0 puis la RFA 4-1 mais s’inclineront en finale face à la POLOGNE du grand DEYNA. Et oui, il en était.
Il sera du groupe finaliste de la Coupe des villes de foire, face à la meilleure équipe anglaise de son temps : LEEDS.
Rencontres difficiles, à cette époque les tensions EST/OUEST sont à leur paroxysme. Pour le coup, LEEDS ne pliera pas malgré un match retour compliqué face à 76000 fans hongrois déchainés.

Il fera le bonheur de l’équipe de Hongrie. Il obtiendra sa première cape face à la RFA en 1972. Sur la photo ci-dessus (1978), il est au milieu du 2ème rang à côté d’une grande star du football hongrois, FAZEKAS.
Il multipliera les titres avec FERENCVAROS tant en championnat qu’en Coupe de HONGRIE.
Voici qu’arrive l’année 1979, une révolution pour le football hongrois : pour la 1ère fois, les autorités autorisent légalement le départ à l’étranger de leurs ressortissants sportifs.
Il sera le pionnier ! le voici à BRUGES avec qui il remportera le titre de Champion de Belgique.

Puis en 1981 il rejoindra le FC TOULOUSE alors en D2. Il marquera les esprits dès son premier match au Stadium en envoyant un missile dès son premier match face à SAINT-DIE. Ils seront champions de D2 notamment grâce à PINTENAT ou encore KRIMAU.
1982 il formera avec Christian LOPEZ la charnière défensive centrale.
1983, il quittera TOULOUSE pour relever un défi avec GRENOBLE en division inférieure. Il sera gravement blessé lors d’une rencontre CANNES-GRENOBLE du 13 décembre 1983. Il ne rejouera plus…
C’est celui que l’on surnommait « Le Baron »
Il s’agit de LASZLO BALINT